Tout ce qui entre dans notre esprit agit de manière plus ou moins forte dans notre esprit d’une façon ou d’une autre. Il ne faut pas être naïf et croire qu’on soit en mesure de bien gérer le lot d’informations qui nous envahit. Nous devons à tout prix choisir ce qui entre dans notre esprit, nous devons éviter au maximum de s’exposer aux sources d’informations qui sont négatives et qui ne nous permettent pas de se divertir ou de grandir.
La vie doit être vécue en ayant le sens du plaisir et de l’évolution de la race humaine. Tout autre objectif dans la vie se doit d’être en accord avec ces deux principes fort simple mais combien difficile à respecter lorsqu’on laisse entrer n’importe quelle information dans notre esprit. Volontairement je soustrais toute allusion à quelque notion de foi ou de religion dans cette énoncée, s’il vous plaît de l’inclure bien à vous, elle se confond très bien dans l’évolution de la race humaine, à moins bien sûr d’avoir la foi ou une religion régressive ou fermée.
Nourrir son esprit n’est pas une simple tâche, il n’est pas facile de choisir l’information que nous acceptons de recevoir, la plupart du temps nous recevons ces informations bien involontairement et sans avoir le contrôle ou même le choix. Par contre, une grande quantité d’informations que nous recevons est entièrement sous notre contrôle, il n’y a qu’à penser aux choses les plus simples tel que les nouvelles télévisées, les journaux et même un jusqu’à un certain point ce qui provient de l’Internet.
Bon nombre de personnes attribuent leurs sentiments dépressifs, négatifs, colériques à leurs enfances, leurs situations financières, leurs contextes social désavantageux et même à leur conjoint. En réalité il y a certainement un peu de tout cela, mais pour la plupart d’entre nous il y a surtout le fait que les informations que l’on reçoit au quotidien entretiennent les causes contextuelles et en développe de nouvelles qui ne font même pas partie de nos vies.
Par exemple, il est difficile de regarder des enfants qui ne mangent pas à leurs faims, qui n’ont aucune opportunité de s’instruire pour possiblement améliorer leur sort plus tard, qui sont obligés de travailler dès leur jeune âge. Ces images et ces histoires nous affectent et très souvent on se sent impuissants, désabusés de la société et voir même coupable de ne pas en faire plus pour ces enfants autrement que de donner de l’argent à œuvre qui tentent désespérément de les aider. Ces situations sont généralement présentées dans un contexte parfois douteux.
Du même souffle on s’impatiente avec nos propres enfants parce qu’ils ne savent pas apprécier la chance extraordinaire qu’ils ont de vivre sous des cieux de paix et d’opportunité accessible à une minorité d’habitant sur cette terre. On demande à nos enfants d’avoir la maturité de l’adulte face à ces situations et par le fait même nous amorçons des situations de conflit familial dû aux informations présentés hors contexte et surtout qui ne sont pas adaptées en fonction du niveau d’évolution et de conscience que peuvent avoir les enfants, les adolescents et même les jeunes adultes de moins de 30 ans.
Cet exemple est peut-être complexe voir trop élaboré pour certaine personne, mais elle touche un grand nombre de personnes qui utilisent ce genre d’information pour faire comprendre à leurs enfants des choses qui sont tout à fait hors de leur portée. En tant qu’être humain on peut changer le monde en se changeant soi-même, mais surtout pas en essayant de changer les autres et encore moins avec des exemples venant d’un contexte tout à fait inapproprié comme l’exemple décrite précédemment.
Bien sûr tout ceci donne comme résultat final une ambiance morose, négative, non constructive voir même démoralisante, tant pour les adultes que pour les enfants. Ce genre d’information ne doit pas être reçu de manière sensationnalisme comme le font la plupart des médias présentement. Ces informations doivent être récoltées de manière objective et surtout avec une vue d’ensemble de la situation, pas seulement les conséquences qui sont parfois moins dramatiques que ce qu’on nous présente. D’où l’importance de gérer ce qui entre, il ne faut pas laisser les médias de masse nous envahir l’esprit, il faut l’éviter, le condamner, l’ignorer et surtout ne pas s’exposer à ces sources d’informations malsaines et dévastatrices.
Dites-moi comment vous gérez ce qui alimente votre cerveau.
Suis ton coeur, pour que ton visage brille durant le temps de ta vie Plathotep
Qui je suis...
vendredi 30 octobre 2009
jeudi 29 octobre 2009
Les 7 jours de la semaine ou les 7 habitudes pour combattre l'anxiété
- Fermer à tout jamais la porte qui donne accès à votre passé et cesser de regarder sur ce qui s'en vient, ou du moins sur ce que vous pensez ou souhaiteriez qui se passe et vivez le moment présent avec gratitude et plaisir. Cette journée ne reviendra jamais dans votre vie, faites-en un œuvre d'art comme vous savez si bien le faire.
- Occupez-vous à faire les choses essentielles, garder votre esprit actif et enjoué. Les personnes actives n'ont pas le temps de se soucier des petites choses insignifiantes et n'ont surtout pas le temps de se demander ce qui va se passer demain ou après demain.
- Laisser la loi de la moyenne travailler pour vous, évaluer les chances que le pire cas se produisent et vous constaterez que les chances qu'elles surviennent, sont la plupart du temps, à peu près nul, alors agissez du mieux que vous pouvez et cesser de vous préoccuper des au cas où.
- Faites de votre mieux et au meilleur de vos connaissances en toute honnêteté et faites confiance à votre gros bon sens.
- Regarder ce que vous avez réussi, ce que vous avez influencé positivement et oubliez les inquiétudes et les prétendus risques. Faites le bilan de vos réalisations versus celui de vos vrais échecs et vos réussites sont fort probablement beaucoup fréquentes que vos échecs. Faites-vous confiance, après tout vous avez réussi tant de choses jusqu'à présent et vos erreurs n'étaient généralement pas irréparables.
- Investissez un petit moment chaque jour aux autres, oubliez-vous et consacrez ce temps entièrement aux autres. Soyez le bienfaiteur et le distributeur de sourire et l'oreille attentive tant recherchée et vous réaliserez vraiment à quel point vous êtes important.
- Laissez libre cours à votre imagination et n'arrêtez pas de rêver à la réalisation de ces projets. Laissez votre créativité se développer même dans ces projets qui semblent farfelues. Amusez-vous à imaginer la réussite de ces projets et vous réussirez sans doute, un jour ou l'autre à réaliser concrètement un ou plusieurs de ces projets.
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mercredi 28 octobre 2009
Les nouveaux outils de communications et ses détracteurs
L'évolution rapide des outils de communications fait en sorte qu'il est maintenant facile d'entrer en contact avec un nombre incroyable de personnes au travers le monde, de communiquer rapidement, facilement et efficacement. Cependant, encore une fois, un certain nombre de personnes croient que ces nouvelles façons de communiquer sont passagère, qu'ils diminuent notre maîtrise dans l'utilisation de la langue et qu'ils mettent en danger notre vie privée.
Un petit rappel, au milieu des années 1900, lorsque l'ancêtre de Twitter, le télégraphe est apparu, bon nombre de personnes considéraient que peu de gens avaient suffisamment de choses à se communiquer rapidement pour utiliser ce moyen de communication. Trois décennies plus tard, l'inventeur du télégraphe, Samuel Morse n'a pas jugé nécessaire d'acheter le brevet pour l'invention du téléphone. Monsieur Morse ainsi que la Western Union considéraient qu'il y avait peu d'intérêt à utiliser un outil de communication qui ne pouvait pas garder de preuve écrite ! Qui oserait prendre des ententes verbales sans preuve du contenu de la conversation !
En 1930 dans l'éditorial du New York Times, il était bien clair pour eux que l'utilisation de la machine à écrire mettait en danger l'art d'écrire à la main et qui pouvait permettre aux usurpateurs de se prévaloir du droit d'auteur des rédacteurs! N'est-ce pas un argument des anti-blogeurs ?
Avec tous ces moyens de communiquer, d'échanger des informations sous toutes ces formes, il est difficile de prévoir quels seront les impacts sur notre société, mais nous pouvons affirmer sans contredit que si le passé est garant du futur, le monde des communications de demain sera vraiment très constructifs et enrichissants pour l'ensemble de la planète.
Un petit rappel, au milieu des années 1900, lorsque l'ancêtre de Twitter, le télégraphe est apparu, bon nombre de personnes considéraient que peu de gens avaient suffisamment de choses à se communiquer rapidement pour utiliser ce moyen de communication. Trois décennies plus tard, l'inventeur du télégraphe, Samuel Morse n'a pas jugé nécessaire d'acheter le brevet pour l'invention du téléphone. Monsieur Morse ainsi que la Western Union considéraient qu'il y avait peu d'intérêt à utiliser un outil de communication qui ne pouvait pas garder de preuve écrite ! Qui oserait prendre des ententes verbales sans preuve du contenu de la conversation !
En 1930 dans l'éditorial du New York Times, il était bien clair pour eux que l'utilisation de la machine à écrire mettait en danger l'art d'écrire à la main et qui pouvait permettre aux usurpateurs de se prévaloir du droit d'auteur des rédacteurs! N'est-ce pas un argument des anti-blogeurs ?
Avec tous ces moyens de communiquer, d'échanger des informations sous toutes ces formes, il est difficile de prévoir quels seront les impacts sur notre société, mais nous pouvons affirmer sans contredit que si le passé est garant du futur, le monde des communications de demain sera vraiment très constructifs et enrichissants pour l'ensemble de la planète.
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mardi 27 octobre 2009
Faire face aux déceptions, aux épreuves
Au cours de notre courte vie nous sommes assez souvent confrontés à des situations qui ne se terminent pas comme on le voudrait. Évidemment, certaines situations sont sans conséquences sur nos vies, par exemple; la défaite d'une de vos équipes sportives favorites, un rendez-vous manqué chez le dentiste, etc.
Dans d'autres cas les conséquences sont plus embêtantes, voire plus irritantes. Pour continuer dans les exemples en voici quelques-uns dans la vie de tous les jours; lorsque vous avez une crevaison sur la route et que vous n'êtes pas capable d'installer le pneu de secours, lorsque le transport en commun est en retard et vous fait manquer une réunion de bureau assez importante, etc.
Finalement, il y a les situations qui ont des conséquences beaucoup plus graves et qui vous causent un stress assez important, voire très important, par exemple; vous n'obtenez pas la promotion que vous pensiez qui vous était dû, vous ne réusssissez pas à vous trouver un emploi pour diverses raisons pour lesquelles vous n'avez aucun contrôle, le rendement de vos placements financiers affectent drastiquement votre style de vie et votre futur retraite.
Toutes ces déceptions ont la particularité de venir nous chercher de l'intérieur, vous vivez toujours ces déceptions d'une manière émotive. Selon les conséquences négatives que vous anticipez, vous aurez une réaction émotive, non contrôlée qui viendra vous perturber jusqu'à un point où vous n'aurez plus d'appétit, vous aurez de la difficulté à dormir, vous vous sentirez comme un raté et même parfois vous aurez la nausée.
Attention, le stress négatif comme celui-ci est excessivement dangereux pour votre corps et votre esprit. Ces déceptions sont parfois difficiles à affronter positivement, parce que vous ne voyez pas dès le départ comment vous allez vous en sortir et vous n'êtes pas positif sur ce que l'avenir vous réserve à cause d'un de ces événements.
Il est impératif que le plus rapidement possible, c'est-à-dire en quelques heures, vous cessiez de vous faire du mauvais sang sur les possibles conséquences de ces événements. Il vous faut agir immédiatement, je répète, il faut agir promptement, c'est la clé de la porte d'entrée pour réussir à affronter cette déception et c'est la seule façon, vraiment efficace, pour éliminer ces angoisses rapidement. Lorsqu'on est en action on doit se concentrer sur ce qu'on fait, donc, on a moins de temps pour penser et se faire du mauvais sang sur les possibles conséquences négatives, qui en passant ne sont pas encore arrivées!
Il n'y a pas de potion magique pour passer au travers une situation, une déception ou une épreuve difficile dans la vie. Il faut simplement savoir que la vie est remplie d'opportunités qui se dévoilent lorsqu'on se met à bouger et à qu'on décide de ne pas se laisser faire par ces événements. Comme vous avez sûrement entendu cette maxime des tonnes de fois "ce n'est pas ce qui t'arrive qui est important, c'est comment tu réagis". Même s'il cette maxime semble un cliché, c'est vraiment LA RECETTE à suivre.
Dans d'autres cas les conséquences sont plus embêtantes, voire plus irritantes. Pour continuer dans les exemples en voici quelques-uns dans la vie de tous les jours; lorsque vous avez une crevaison sur la route et que vous n'êtes pas capable d'installer le pneu de secours, lorsque le transport en commun est en retard et vous fait manquer une réunion de bureau assez importante, etc.
Finalement, il y a les situations qui ont des conséquences beaucoup plus graves et qui vous causent un stress assez important, voire très important, par exemple; vous n'obtenez pas la promotion que vous pensiez qui vous était dû, vous ne réusssissez pas à vous trouver un emploi pour diverses raisons pour lesquelles vous n'avez aucun contrôle, le rendement de vos placements financiers affectent drastiquement votre style de vie et votre futur retraite.
Toutes ces déceptions ont la particularité de venir nous chercher de l'intérieur, vous vivez toujours ces déceptions d'une manière émotive. Selon les conséquences négatives que vous anticipez, vous aurez une réaction émotive, non contrôlée qui viendra vous perturber jusqu'à un point où vous n'aurez plus d'appétit, vous aurez de la difficulté à dormir, vous vous sentirez comme un raté et même parfois vous aurez la nausée.
Attention, le stress négatif comme celui-ci est excessivement dangereux pour votre corps et votre esprit. Ces déceptions sont parfois difficiles à affronter positivement, parce que vous ne voyez pas dès le départ comment vous allez vous en sortir et vous n'êtes pas positif sur ce que l'avenir vous réserve à cause d'un de ces événements.
Il est impératif que le plus rapidement possible, c'est-à-dire en quelques heures, vous cessiez de vous faire du mauvais sang sur les possibles conséquences de ces événements. Il vous faut agir immédiatement, je répète, il faut agir promptement, c'est la clé de la porte d'entrée pour réussir à affronter cette déception et c'est la seule façon, vraiment efficace, pour éliminer ces angoisses rapidement. Lorsqu'on est en action on doit se concentrer sur ce qu'on fait, donc, on a moins de temps pour penser et se faire du mauvais sang sur les possibles conséquences négatives, qui en passant ne sont pas encore arrivées!
Il n'y a pas de potion magique pour passer au travers une situation, une déception ou une épreuve difficile dans la vie. Il faut simplement savoir que la vie est remplie d'opportunités qui se dévoilent lorsqu'on se met à bouger et à qu'on décide de ne pas se laisser faire par ces événements. Comme vous avez sûrement entendu cette maxime des tonnes de fois "ce n'est pas ce qui t'arrive qui est important, c'est comment tu réagis". Même s'il cette maxime semble un cliché, c'est vraiment LA RECETTE à suivre.
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lundi 26 octobre 2009
La santé
De toutes les situations que nous devons affronter dans la vie, la santé est celle qui nous fait le plus peur, celle pour laquelle nos doutes sont les plus stressants et celle qui peut avoir une influence dévastatrice sur notre avenir. Il est donc normal que nous soyons si anxieux lorsqu’on parle de santé, sans compter le fait que nous sommes de vrais ignorants dans ce domaine. Même ces médecins, si compétents soient-ils, ont une connaissance bien limitée du corps humain et de ces multiples secrets qui font fonctionner cette magnifique machine humaine de la vie.
Puisque nous sommes à des lunes d’y voir vraiment clair, il n’y a pas de recette miracle qui peut vous empêcher d’être malade, car vous le serez un jour ou l’autre, mais il y a tout de même des moyens d’en éviter un très grand nombre. Les connaissances actuelles nous permettent de présumer que certains principes de base sont bénéfiques. Comme pour toute chose dans la vie, la modération a bien meilleur goût. L’abus est rarement une solution à un problème et sollicite d’une manière trop intense quelques parties du corps, les altère prématurément et souvent de façon permanente.
Si on veut simplifier les principes à quelque chose de facile à comprendre et de simple à faire, voici quelques affirmations connues et reconnues qui vous donneront quelques indices pour demeurer en santé ;
pour garder un poids santé, il faut dépenser le même nombre de calories qu’on en ingurgite, principe simple, mais pour bien des gens ça semble compliqué à faire
pour diminuer les risques de maladies cardio-vasculaires, ne pas consommer de gras saturés et éviter de mettre du sel sur les aliments (il y a suffisamment de sel naturel dans les aliments)
pour diminuer les risques de diabète de type 2, éviter d’ajouter du sucre dans ce que vous consommez (il y a suffisamment de sucre naturel dans les aliments)
pour diminuer les effets du vieillissement sur vos os (ostéoporose), consommez des produits laitiers tous les jours (modérément) et faites un minimum de musculation pour permettre aux muscles de bien supporter votre masse osseuse
pour diminuer les effets du vieillissement sur vos capacités intellectuelles (analyse et mémoire), faites de la lecture, des jeux de stratégie et de mémoire et continuer de vous instruire sur un sujet ou un autre
Comme vous l’avez constaté, il faut garder les choses simples et il faut prendre les moyens pour entretenir son corps et son esprit.
Puisque nous sommes à des lunes d’y voir vraiment clair, il n’y a pas de recette miracle qui peut vous empêcher d’être malade, car vous le serez un jour ou l’autre, mais il y a tout de même des moyens d’en éviter un très grand nombre. Les connaissances actuelles nous permettent de présumer que certains principes de base sont bénéfiques. Comme pour toute chose dans la vie, la modération a bien meilleur goût. L’abus est rarement une solution à un problème et sollicite d’une manière trop intense quelques parties du corps, les altère prématurément et souvent de façon permanente.
Si on veut simplifier les principes à quelque chose de facile à comprendre et de simple à faire, voici quelques affirmations connues et reconnues qui vous donneront quelques indices pour demeurer en santé ;
pour garder un poids santé, il faut dépenser le même nombre de calories qu’on en ingurgite, principe simple, mais pour bien des gens ça semble compliqué à faire
pour diminuer les risques de maladies cardio-vasculaires, ne pas consommer de gras saturés et éviter de mettre du sel sur les aliments (il y a suffisamment de sel naturel dans les aliments)
pour diminuer les risques de diabète de type 2, éviter d’ajouter du sucre dans ce que vous consommez (il y a suffisamment de sucre naturel dans les aliments)
pour diminuer les effets du vieillissement sur vos os (ostéoporose), consommez des produits laitiers tous les jours (modérément) et faites un minimum de musculation pour permettre aux muscles de bien supporter votre masse osseuse
pour diminuer les effets du vieillissement sur vos capacités intellectuelles (analyse et mémoire), faites de la lecture, des jeux de stratégie et de mémoire et continuer de vous instruire sur un sujet ou un autre
Comme vous l’avez constaté, il faut garder les choses simples et il faut prendre les moyens pour entretenir son corps et son esprit.
vendredi 23 octobre 2009
Les itinérants, les sans-abris ces inconnus
Pour les gens qui vivent dans les grandes villes, le phénomène des itinérants ou des sans-abris est quelque chose de normal, il n'y a rien d'extraordinaire de voir une de ces personnes nous demander de l'argent par un sourire et la plupart du temps un merci même si on ne lui donne rien.
Chaque fois que je vois une de ces personnes et je dis bien chaque fois, je me demande toujours qu'est-ce qui a bien pu se passer dans la leur vie pour être devenu ce qu'ils sont aujourd'hui. Bien sûr je suis conscient qu'il y a un certain nombre de ces personnes qui se retrouvent à la rue parce qu'ils ont une maladie mentale et qu'elles ne sont pas traitées et suivies adéquatement. Cependant, nous savons tous que la majorité des sans-abris ne sont pas dans cette situation.
Je fais cette réflection ce matin parce que dernièrement je suis allé au centre-ville de Montréal (ma ville) et il y avait un sans-abris qui était à côté d'une de paiement de stationnement et avec sa casquette qui m'a salut avec un beau bonjour. Je lui ai rendu la pareille ensuite il s'est mis à m'expliquer que la borne semblait refuser toutes les cartes de crédit, mais quelle surprise, sa façon de s'exprimer, son vocabulaire, son élocution et son attitude enjoué m'a tout simplement impressionné.
Il est clair que j'avais devant moi une personne intelligente, probablement instruite et qui savait s'entretenir avec les gens mieux que la plupart des gens que je connais. Encore une fois, j'étais devant une personne qui vivait une situation de vie que je ne pouvais pas m'expliquer. Je comprends qu'une personne en dépression nerveuse puisse arriver à un moment de sa vie tout laissé tomber le temps de se soigner, mais les sans-abris ne sont pas tous des gens en dépression nerveuse!
Tout ceci pour dire que lorsque vous êtes en face d'un sans-abris, prenez le temps de vous poser quelques questions comme ; est-ce que c'est vraiment ce que cette personne veut comme vie ? Était-ce vraiment dans ses rêves les plus fous de devenir un sans-abris ?
Juste de poser la question sur le coup déclenche un sentiment de compassion envers ces gens. Une compassion qui n'est pas de la pitié, mais un sentiment qui fait en sorte qu'on laisse tomber notre jugement négatif et qu'on tente, ne serais-ce qu'un instant, de se mettre dans leurs souliers. C'est à partir de cet instant qu'on se rend compte que ces personnes ont besoin d'être traité comme vous et moi, c'est-à-dire d'égal à égal, avec respect malgré leur aspect physique. N'oublier jamais le dicton "l'habit ne fait pas le moine", vous n'avez qu'à penser à nos bandits en cravate!
Dites-moi ce que vous en pensez, dites-moi comment réagissez lorsque vous êtes face à ces gens.
Chaque fois que je vois une de ces personnes et je dis bien chaque fois, je me demande toujours qu'est-ce qui a bien pu se passer dans la leur vie pour être devenu ce qu'ils sont aujourd'hui. Bien sûr je suis conscient qu'il y a un certain nombre de ces personnes qui se retrouvent à la rue parce qu'ils ont une maladie mentale et qu'elles ne sont pas traitées et suivies adéquatement. Cependant, nous savons tous que la majorité des sans-abris ne sont pas dans cette situation.
Je fais cette réflection ce matin parce que dernièrement je suis allé au centre-ville de Montréal (ma ville) et il y avait un sans-abris qui était à côté d'une de paiement de stationnement et avec sa casquette qui m'a salut avec un beau bonjour. Je lui ai rendu la pareille ensuite il s'est mis à m'expliquer que la borne semblait refuser toutes les cartes de crédit, mais quelle surprise, sa façon de s'exprimer, son vocabulaire, son élocution et son attitude enjoué m'a tout simplement impressionné.
Il est clair que j'avais devant moi une personne intelligente, probablement instruite et qui savait s'entretenir avec les gens mieux que la plupart des gens que je connais. Encore une fois, j'étais devant une personne qui vivait une situation de vie que je ne pouvais pas m'expliquer. Je comprends qu'une personne en dépression nerveuse puisse arriver à un moment de sa vie tout laissé tomber le temps de se soigner, mais les sans-abris ne sont pas tous des gens en dépression nerveuse!
Tout ceci pour dire que lorsque vous êtes en face d'un sans-abris, prenez le temps de vous poser quelques questions comme ; est-ce que c'est vraiment ce que cette personne veut comme vie ? Était-ce vraiment dans ses rêves les plus fous de devenir un sans-abris ?
Juste de poser la question sur le coup déclenche un sentiment de compassion envers ces gens. Une compassion qui n'est pas de la pitié, mais un sentiment qui fait en sorte qu'on laisse tomber notre jugement négatif et qu'on tente, ne serais-ce qu'un instant, de se mettre dans leurs souliers. C'est à partir de cet instant qu'on se rend compte que ces personnes ont besoin d'être traité comme vous et moi, c'est-à-dire d'égal à égal, avec respect malgré leur aspect physique. N'oublier jamais le dicton "l'habit ne fait pas le moine", vous n'avez qu'à penser à nos bandits en cravate!
Dites-moi ce que vous en pensez, dites-moi comment réagissez lorsque vous êtes face à ces gens.
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jeudi 22 octobre 2009
Soyez honnête avec vous-même
Dans la vie le développement de sa personnalité se fait petit à petit et généralement c'est pour le mieux, du moins, avec soi-même. Il y a plusieurs événements qui provoquent en nous des sentiments tantôt négatifs, tantôt positifs, mais rarement nous réagissons avec indifférence à ce qui nous entourent. C'est la principale raison pour laquelle il faut apprendre à se connaître soi-même et surtout à être honnête avec soi-même. Attention de ne pas vous sous-estimer, c'est le danger de faire de la rétrospection, parce que souvent on a tendance à se comparer aux autres, ce qui est vraiment la dernière chose à faire. Pourquoi ? Lorsqu'on se compare aux autres, on compare nos faiblesses avec les forces des autres et forcément l'écart entre les deux est drôlement exagérés.
Je veux simplement dire d'accepter d'affronter la réalité en face, ne pas rationaliser les situations, c'est-à-dire trouver des excuses irrationnelles, il faut déterminer attentivement ce que vous faites, pourquoi vous le faites et ce que vous souhaiteriez mieux faire. À partir du moment où vous aurez identifié clairement où vous en êtes et ce que vous souhaitez, vous aurez fait le bout de chemin le plus difficile et le plus exigeants émotivement, c'est-à-dire, celui de regarder la vérité bien en face pour enfin trouver des solutions.
Ça semble simple, mais trop peu de gens ose le faire, la plupart des gens pensent que leur situation de vie est acceptable, mais lorsque vous discutez avec eux, ils n'ont pas d'étincelle dans les yeux lorsqu'ils parlent de ce qu'ils vivent, ce qu'ils font et de leurs projets. Ils semblent vivre sur un tapis roulant qui ne va nulle part, sans paysage, sans défi et qui ne leur demandent pas de se dépasser et d'utiliser leurs vraies capacités intellectuelles et physiques.
Le sujet est très large et est parsemé de situations exceptionnelles, mais dites-moi ce que vous en pensez, je suis bien curieux de découvrir vos points de vue, d'apprendre ce que vous vivez, vous ressentez et ce que vous faites pour aller vers une vraie prise de conscience avec vous-même ?
Je veux simplement dire d'accepter d'affronter la réalité en face, ne pas rationaliser les situations, c'est-à-dire trouver des excuses irrationnelles, il faut déterminer attentivement ce que vous faites, pourquoi vous le faites et ce que vous souhaiteriez mieux faire. À partir du moment où vous aurez identifié clairement où vous en êtes et ce que vous souhaitez, vous aurez fait le bout de chemin le plus difficile et le plus exigeants émotivement, c'est-à-dire, celui de regarder la vérité bien en face pour enfin trouver des solutions.
Ça semble simple, mais trop peu de gens ose le faire, la plupart des gens pensent que leur situation de vie est acceptable, mais lorsque vous discutez avec eux, ils n'ont pas d'étincelle dans les yeux lorsqu'ils parlent de ce qu'ils vivent, ce qu'ils font et de leurs projets. Ils semblent vivre sur un tapis roulant qui ne va nulle part, sans paysage, sans défi et qui ne leur demandent pas de se dépasser et d'utiliser leurs vraies capacités intellectuelles et physiques.
Le sujet est très large et est parsemé de situations exceptionnelles, mais dites-moi ce que vous en pensez, je suis bien curieux de découvrir vos points de vue, d'apprendre ce que vous vivez, vous ressentez et ce que vous faites pour aller vers une vraie prise de conscience avec vous-même ?
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