Suis ton coeur, pour que ton visage brille durant le temps de ta vie Plathotep

vendredi 30 octobre 2009

Bien alimenter son cerveau avec les bonnes informations

Tout ce qui entre dans notre esprit agit de manière plus ou moins forte dans notre esprit d’une façon ou d’une autre. Il ne faut pas être naïf et croire qu’on soit en mesure de bien gérer le lot d’informations qui nous envahit. Nous devons à tout prix choisir ce qui entre dans notre esprit, nous devons éviter au maximum de s’exposer aux sources d’informations qui sont négatives et qui ne nous permettent pas de se divertir ou de grandir.

La vie doit être vécue en ayant le sens du plaisir et de l’évolution de la race humaine. Tout autre objectif dans la vie se doit d’être en accord avec ces deux principes fort simple mais combien difficile à respecter lorsqu’on laisse entrer n’importe quelle information dans notre esprit. Volontairement je soustrais toute allusion à quelque notion de foi ou de religion dans cette énoncée, s’il vous plaît de l’inclure bien à vous, elle se confond très bien dans l’évolution de la race humaine, à moins bien sûr d’avoir la foi ou une religion régressive ou fermée.

Nourrir son esprit n’est pas une simple tâche, il n’est pas facile de choisir l’information que nous acceptons de recevoir, la plupart du temps nous recevons ces informations bien involontairement et sans avoir le contrôle ou même le choix. Par contre, une grande quantité d’informations que nous recevons est entièrement sous notre contrôle, il n’y a qu’à penser aux choses les plus simples tel que les nouvelles télévisées, les journaux et même un jusqu’à un certain point ce qui provient de l’Internet.

Bon nombre de personnes attribuent leurs sentiments dépressifs, négatifs, colériques à leurs enfances, leurs situations financières, leurs contextes social désavantageux et même à leur conjoint. En réalité il y a certainement un peu de tout cela, mais pour la plupart d’entre nous il y a surtout le fait que les informations que l’on reçoit au quotidien entretiennent les causes contextuelles et en développe de nouvelles qui ne font même pas partie de nos vies.

Par exemple, il est difficile de regarder des enfants qui ne mangent pas à leurs faims, qui n’ont aucune opportunité de s’instruire pour possiblement améliorer leur sort plus tard, qui sont obligés de travailler dès leur jeune âge. Ces images et ces histoires nous affectent et très souvent on se sent impuissants, désabusés de la société et voir même coupable de ne pas en faire plus pour ces enfants autrement que de donner de l’argent à œuvre qui tentent désespérément de les aider. Ces situations sont généralement présentées dans un contexte parfois douteux.

Du même souffle on s’impatiente avec nos propres enfants parce qu’ils ne savent pas apprécier la chance extraordinaire qu’ils ont de vivre sous des cieux de paix et d’opportunité accessible à une minorité d’habitant sur cette terre. On demande à nos enfants d’avoir la maturité de l’adulte face à ces situations et par le fait même nous amorçons des situations de conflit familial dû aux informations présentés hors contexte et surtout qui ne sont pas adaptées en fonction du niveau d’évolution et de conscience que peuvent avoir les enfants, les adolescents et même les jeunes adultes de moins de 30 ans.

Cet exemple est peut-être complexe voir trop élaboré pour certaine personne, mais elle touche un grand nombre de personnes qui utilisent ce genre d’information pour faire comprendre à leurs enfants des choses qui sont tout à fait hors de leur portée. En tant qu’être humain on peut changer le monde en se changeant soi-même, mais surtout pas en essayant de changer les autres et encore moins avec des exemples venant d’un contexte tout à fait inapproprié comme l’exemple décrite précédemment.

Bien sûr tout ceci donne comme résultat final une ambiance morose, négative, non constructive voir même démoralisante, tant pour les adultes que pour les enfants. Ce genre d’information ne doit pas être reçu de manière sensationnalisme comme le font la plupart des médias présentement. Ces informations doivent être récoltées de manière objective et surtout avec une vue d’ensemble de la situation, pas seulement les conséquences qui sont parfois moins dramatiques que ce qu’on nous présente. D’où l’importance de gérer ce qui entre, il ne faut pas laisser les médias de masse nous envahir l’esprit, il faut l’éviter, le condamner, l’ignorer et surtout ne pas s’exposer à ces sources d’informations malsaines et dévastatrices.

Dites-moi comment vous gérez ce qui alimente votre cerveau.

jeudi 29 octobre 2009

Les 7 jours de la semaine ou les 7 habitudes pour combattre l'anxiété

  1. Fermer à tout jamais la porte qui donne accès à votre passé et cesser de regarder sur ce qui s'en vient, ou du moins sur ce que vous pensez ou souhaiteriez qui se passe et vivez le moment présent avec gratitude et plaisir. Cette journée ne reviendra jamais dans votre vie, faites-en un œuvre d'art comme vous savez si bien le faire.
  2. Occupez-vous à faire les choses essentielles, garder votre esprit actif et enjoué. Les personnes actives n'ont pas le temps de se soucier des petites choses insignifiantes et n'ont surtout pas le temps de se demander ce qui va se passer demain ou après demain.
  3. Laisser la loi de la moyenne travailler pour vous, évaluer les chances que le pire cas se produisent et vous constaterez que les chances qu'elles surviennent, sont la plupart du temps, à peu près nul, alors agissez du mieux que vous pouvez et cesser de vous préoccuper des au cas où.
  4. Faites de votre mieux et au meilleur de vos connaissances en toute honnêteté et faites confiance à votre gros bon sens.
  5. Regarder ce que vous avez réussi, ce que vous avez influencé positivement et oubliez les inquiétudes et les prétendus risques. Faites le bilan de vos réalisations versus celui de vos vrais échecs et vos réussites sont fort probablement beaucoup fréquentes que vos échecs. Faites-vous confiance, après tout vous avez réussi tant de choses jusqu'à présent et vos erreurs n'étaient généralement pas irréparables.
  6. Investissez un petit moment chaque jour aux autres, oubliez-vous et consacrez ce temps entièrement aux autres. Soyez le bienfaiteur et le distributeur de sourire et l'oreille attentive tant recherchée et vous réaliserez vraiment à quel point vous êtes important.
  7. Laissez libre cours à votre imagination et n'arrêtez pas de rêver à la réalisation de ces projets. Laissez votre créativité se développer même dans ces projets qui semblent farfelues. Amusez-vous à imaginer la réussite de ces projets et vous réussirez sans doute, un jour ou l'autre à réaliser concrètement un ou plusieurs de ces projets.   

 

mercredi 28 octobre 2009

Les nouveaux outils de communications et ses détracteurs

L'évolution rapide des outils de communications fait en sorte qu'il est maintenant facile d'entrer en contact avec un nombre incroyable de personnes au travers le monde, de communiquer rapidement, facilement et efficacement. Cependant, encore une fois, un certain nombre de personnes croient que ces nouvelles façons de communiquer sont passagère, qu'ils diminuent notre maîtrise dans l'utilisation de la langue et qu'ils mettent en danger notre vie privée.

Un petit rappel, au milieu des années 1900, lorsque l'ancêtre de Twitter, le télégraphe est apparu, bon nombre de personnes considéraient que peu de gens avaient suffisamment de choses à se communiquer rapidement pour utiliser ce moyen de communication. Trois décennies plus tard, l'inventeur du télégraphe, Samuel Morse n'a pas jugé nécessaire d'acheter le brevet pour l'invention du téléphone. Monsieur Morse ainsi que la Western Union considéraient qu'il y avait peu d'intérêt à utiliser un outil de communication qui ne pouvait pas garder de preuve écrite ! Qui oserait prendre des ententes verbales sans preuve du contenu de la conversation !

En 1930 dans l'éditorial du New York Times, il était bien clair pour eux que l'utilisation de la machine à écrire mettait en danger l'art d'écrire à la main et qui pouvait permettre aux usurpateurs de se prévaloir du droit d'auteur des rédacteurs! N'est-ce pas un argument des anti-blogeurs ?

Avec tous ces moyens de communiquer, d'échanger des informations sous toutes ces formes, il est difficile de prévoir quels seront les impacts sur notre société, mais nous pouvons affirmer sans contredit que si le passé est garant du futur, le monde des communications  de demain sera vraiment très constructifs et enrichissants pour l'ensemble de la planète.

mardi 27 octobre 2009

Faire face aux déceptions, aux épreuves

Au cours de notre courte vie nous sommes assez souvent confrontés à des situations qui ne se terminent pas comme on le voudrait. Évidemment, certaines situations sont sans conséquences sur nos vies, par exemple; la défaite d'une de vos équipes sportives favorites, un rendez-vous manqué chez le dentiste, etc.

Dans d'autres cas les conséquences sont plus embêtantes, voire plus irritantes. Pour continuer dans les exemples en voici quelques-uns dans la vie de tous les jours; lorsque vous avez une crevaison sur la route et que vous n'êtes pas capable d'installer le pneu de secours, lorsque le transport en commun est en retard et vous fait manquer une réunion de bureau assez importante, etc.

Finalement, il y a les situations qui ont des conséquences beaucoup plus graves et qui vous causent un stress assez important, voire très important, par exemple; vous n'obtenez pas la promotion que vous pensiez qui vous était dû, vous ne réusssissez pas à vous trouver un emploi pour diverses raisons pour lesquelles vous n'avez aucun contrôle, le rendement de vos placements financiers affectent drastiquement votre style de vie et votre futur retraite.

Toutes ces déceptions ont la particularité de venir nous chercher de l'intérieur, vous vivez toujours ces déceptions d'une manière émotive. Selon les conséquences négatives que vous anticipez, vous aurez une réaction émotive, non contrôlée qui viendra vous perturber jusqu'à un point où vous n'aurez plus d'appétit, vous aurez de la difficulté à dormir, vous vous sentirez comme un raté et même parfois vous aurez la nausée.

Attention, le stress négatif comme celui-ci est excessivement dangereux pour votre corps et votre esprit. Ces déceptions sont parfois difficiles à affronter positivement, parce que vous ne voyez pas dès le départ comment vous allez vous en sortir et vous n'êtes pas positif sur ce que l'avenir vous réserve à cause d'un de ces événements.

Il est impératif que le plus rapidement possible, c'est-à-dire en quelques heures, vous cessiez de vous faire du mauvais sang sur les possibles conséquences de ces événements. Il vous faut agir immédiatement, je répète, il faut agir promptement, c'est la clé de la porte d'entrée pour réussir à affronter cette déception et c'est la seule façon, vraiment efficace, pour éliminer ces angoisses rapidement. Lorsqu'on est en action on doit se concentrer sur ce qu'on fait, donc, on a moins de temps pour penser et se faire du mauvais sang sur les possibles conséquences négatives, qui en passant ne sont pas encore arrivées!

Il n'y a pas de potion magique pour passer au travers une situation, une déception ou une épreuve difficile dans la vie. Il faut simplement savoir que la vie est remplie d'opportunités qui se dévoilent lorsqu'on se met à bouger et à qu'on décide de ne pas se laisser faire par ces événements. Comme vous avez sûrement entendu cette maxime des tonnes de fois "ce n'est pas ce qui t'arrive qui est important, c'est comment tu réagis". Même s'il cette maxime semble un cliché, c'est vraiment LA RECETTE à suivre.

lundi 26 octobre 2009

La santé

De toutes les situations que nous devons affronter dans la vie, la santé est celle qui nous fait le plus peur, celle pour laquelle nos doutes sont les plus stressants et celle qui peut avoir une influence dévastatrice sur notre avenir. Il est donc normal que nous soyons si anxieux lorsqu’on parle de santé, sans compter le fait que nous sommes de vrais ignorants dans ce domaine. Même ces médecins, si compétents soient-ils, ont une connaissance bien limitée du corps humain et de ces multiples secrets qui font fonctionner cette magnifique machine humaine de la vie.


Puisque nous sommes à des lunes d’y voir vraiment clair, il n’y a pas de recette miracle qui peut vous empêcher d’être malade, car vous le serez un jour ou l’autre, mais il y a tout de même des moyens d’en éviter un très grand nombre. Les connaissances actuelles nous permettent de présumer que certains principes de base sont bénéfiques. Comme pour toute chose dans la vie, la modération a bien meilleur goût. L’abus est rarement une solution à un problème et sollicite d’une manière trop intense quelques parties du corps, les altère prématurément et souvent de façon permanente.

Si on veut simplifier les principes à quelque chose de facile à comprendre et de simple à faire, voici quelques affirmations connues et reconnues qui vous donneront quelques indices pour demeurer en santé ;

 pour garder un poids santé, il faut dépenser le même nombre de calories qu’on en ingurgite, principe simple, mais pour bien des gens ça semble compliqué à faire

 pour diminuer les risques de maladies cardio-vasculaires, ne pas consommer de gras saturés et éviter de mettre du sel sur les aliments (il y a suffisamment de sel naturel dans les aliments)

 pour diminuer les risques de diabète de type 2, éviter d’ajouter du sucre dans ce que vous consommez (il y a suffisamment de sucre naturel dans les aliments)

 pour diminuer les effets du vieillissement sur vos os (ostéoporose), consommez des produits laitiers tous les jours (modérément) et faites un minimum de musculation pour permettre aux muscles de bien supporter votre masse osseuse

 pour diminuer les effets du vieillissement sur vos capacités intellectuelles (analyse et mémoire), faites de la lecture, des jeux de stratégie et de mémoire et continuer de vous instruire sur un sujet ou un autre

Comme vous l’avez constaté, il faut garder les choses simples et il faut prendre les moyens pour entretenir son corps et son esprit.

vendredi 23 octobre 2009

Les itinérants, les sans-abris ces inconnus

Pour les gens qui vivent dans les grandes villes, le phénomène des itinérants ou des sans-abris est quelque chose de normal, il n'y a rien d'extraordinaire de voir une de ces personnes nous demander de l'argent par un sourire et la plupart du temps un merci même si on ne lui donne rien.

Chaque fois que je vois une de ces personnes et je dis bien chaque fois, je me demande toujours qu'est-ce qui a bien pu se passer dans la leur vie pour être devenu ce qu'ils sont aujourd'hui. Bien sûr je suis conscient qu'il y a un certain nombre de ces personnes qui se retrouvent à la rue parce qu'ils ont une maladie mentale et qu'elles ne sont pas traitées et suivies adéquatement. Cependant, nous savons tous que la majorité des sans-abris ne sont pas dans cette situation.

Je fais cette réflection ce matin parce que dernièrement je suis allé au centre-ville de Montréal (ma ville) et il y avait un sans-abris qui était à côté d'une de paiement de stationnement et avec sa casquette qui m'a salut avec un beau bonjour. Je lui ai rendu la pareille ensuite il s'est mis à m'expliquer que la borne semblait refuser toutes les cartes de crédit, mais quelle surprise, sa façon de s'exprimer, son vocabulaire, son élocution et son attitude enjoué m'a tout simplement impressionné.

Il est clair que j'avais devant moi une personne intelligente, probablement instruite et qui savait s'entretenir avec les gens mieux que la plupart des gens que je connais. Encore une fois, j'étais devant une personne qui vivait une situation de vie que je ne pouvais pas m'expliquer. Je comprends qu'une personne en dépression nerveuse puisse arriver à un moment de sa vie tout laissé tomber le temps de se soigner, mais les sans-abris ne sont pas tous des gens en dépression nerveuse!

Tout ceci pour dire que lorsque vous êtes en face d'un sans-abris, prenez le temps de vous poser quelques questions comme ; est-ce que c'est vraiment ce que cette personne veut comme vie ? Était-ce vraiment dans ses rêves les plus fous de devenir un sans-abris ?

Juste de poser la question sur le coup déclenche un sentiment de compassion envers ces gens. Une compassion qui n'est pas de la pitié, mais un sentiment qui fait en sorte qu'on laisse tomber notre jugement négatif et qu'on tente, ne serais-ce qu'un instant, de se mettre dans leurs souliers. C'est à partir de cet instant qu'on se rend compte que ces personnes ont besoin d'être traité comme vous et moi, c'est-à-dire d'égal à égal, avec respect malgré leur aspect physique. N'oublier jamais le dicton "l'habit ne fait pas le moine", vous n'avez qu'à penser à nos bandits en cravate!

Dites-moi ce que vous en pensez, dites-moi comment réagissez lorsque vous êtes face à ces gens.

jeudi 22 octobre 2009

Soyez honnête avec vous-même

Dans la vie le développement de sa personnalité se fait petit à petit et généralement c'est pour le mieux, du moins, avec soi-même. Il y a plusieurs événements qui provoquent en nous des sentiments tantôt négatifs, tantôt positifs, mais rarement nous réagissons avec indifférence à ce qui nous entourent. C'est la principale raison pour laquelle il faut apprendre à se connaître soi-même et surtout à être honnête avec soi-même. Attention de ne pas vous sous-estimer, c'est le danger de faire de la rétrospection, parce que souvent on a tendance à se comparer aux autres, ce qui est vraiment la dernière chose à faire. Pourquoi ? Lorsqu'on se compare aux autres, on compare nos faiblesses avec les forces des autres et forcément l'écart entre les deux est drôlement exagérés.

Je veux simplement dire d'accepter d'affronter la réalité en face, ne pas rationaliser les situations, c'est-à-dire trouver des excuses irrationnelles, il faut déterminer attentivement ce que vous faites, pourquoi vous le faites et ce que vous souhaiteriez mieux faire. À partir du moment où vous aurez identifié clairement où vous en êtes et ce que vous souhaitez, vous aurez fait le bout de chemin le plus difficile et le plus exigeants émotivement, c'est-à-dire, celui de regarder la vérité bien en face pour enfin trouver des solutions.

Ça semble simple, mais trop peu de gens ose le faire, la plupart des gens pensent que leur situation de vie est acceptable, mais lorsque vous discutez avec eux, ils n'ont pas d'étincelle dans les yeux lorsqu'ils parlent de ce qu'ils vivent, ce qu'ils font et de leurs projets. Ils semblent vivre sur un tapis roulant qui ne va nulle part, sans paysage, sans défi et qui ne leur demandent pas de se dépasser et d'utiliser leurs vraies capacités intellectuelles et physiques.

Le sujet est très large et est parsemé de situations exceptionnelles, mais dites-moi ce que vous en pensez, je suis bien curieux de découvrir vos points de vue, d'apprendre ce que vous vivez, vous ressentez et ce que vous faites pour aller vers une vraie prise de conscience avec vous-même ? 

mercredi 21 octobre 2009

Une vie équilibrée - Le travail

Le travail c’est la santé. Jusqu’à tout récemment, je ne comprenais pas bien cette expression. J’ai finalement compris qu’il s’agissait plus de la santé mentale que de la santé physique. Lorsqu’une personne ne se sent plus utile à la société ou à ses proches, elle devient facilement dépressive et angoissée. Lorsqu’il s’agit de travail, on veut simplement dire, se sentir utile et que le fruit de nos efforts soient utile et réponde à un ou plusieurs besoins dans notre environnement de vie.


C’est simple comme explication, mais tellement important. La raison pour laquelle j’ai expliqué cette expression, c’est que pour beaucoup de monde, le travail est une obligation pour gagner sa vie et générer des revenus. Bien sûr qu’à la base c’est la première raison pour laquelle on travaille. Mais comment rester motivé, si vous travaillez seulement pour de l’argent ? Vous ne pouvez pas rester motivé bien longtemps, il arrivera un moment ou votre présence à votre travail ne sera que par obligation financière. Quand ce moment arrivera et croyez-moi, il arrivera très tôt dans votre carrière, vous trouverez toutes les raisons possibles et inimaginables pour tenter de vous absenter et faire autre chose.

Peu importe ce que vous faites comme métier, le plus important c’est de bien comprendre l’utilité de votre travail et de faire tout ce qu’il faut pour donner un bon rendement. Ne vous laissez pas influencer par l’attitude des autres, votre éthique au travail est ce qu’il y a de plus important. Même si vous produisez deux fois plus que vos camarades de travail et que vous êtes payé le même salaire, ça n’a pas d’importance. Si vous donnez le meilleur de vous-mêmes, que vous donnez de la valeur à votre travail, vous vous sentirez vraiment bien et il est fort à parier que ce rendement sera remarqué et apprécié par vos supérieurs ou vos clients.

De manière générale, les personnes qui offrent un très bon rendement sans supervision sont très avantagées lorsqu`arrive le temps des promotions ou lorsqu’elles font des demandes spéciales en termes de congés, de vacances ou d’accommodement pour une situation spéciale. Soyez l’employé que vous souhaiteriez engager et que vous voudriez dans votre équipe et il est fort à parier que tôt ou tard de belles occasions se présenteront par elles-mêmes.

En agissant ainsi, vous vous sentirez bien dans votre travail, vous aurez envie de vous y rendre parce que vous savez que le résultat de vos tâches est utile et répond à un besoin concret. Vous serez en paix avec vous-mêmes sachant que vous donnez vraiment un bon rendement. Lorsqu’on a l’esprit tranquille à son travail, il est plus facile d’avoir un équilibre de vie agréable, puisqu’on n’a pas à s’inquiéter des contrecoups à venir contrairement à ceux qui ne performent pas comme ils le devraient.

mardi 20 octobre 2009

La persévérance - Le secret de la réussite - Mais comment ?

Lorsqu'on parle de persévérance on fait principalement référence aux sports et aux études. Ce que je veux parler dans cet article c'est la persévérance à poursuivre vos rêves. Un très grand nombre de motivateurs, de livres et de conférences nous encourage énergiquement à rêver, croire en nos rêves et à visualiser ce que nous voulons atteindre, faire comme si.

Ce que je veux vous parler c'est du cheminement qui vous attend et des effets sur votre motivation, votre détermination et sur la définition de votre rêve. Dans bien des cas le rêve est assez simple et facile à visualiser, par exemple vous rêver d'un voyage à Hawaii, acheter une auto ou toute autre chose matériel.

Quand il s'agit de rêve moins palpable comme devenir indépendant financièrement, obtenir un emploi motivant avec des possibilités d'avancement, de réussir une carrière bien précise, de réussir sa vie familiale. Enfin, tous ces rêves qui sont fortement influencés par les émotions et le désir d'être reconnu et de sentir qu'on réussit dans la vie.

Pour ces rêves, le type de persévérance nécessaire est celui qui demande un bon jugement, de regarder les choses bien face et de ne pas se détourner de la réalité pour ultimement ajuster votre tir et continuer à agir en fonction de vos rêves.

Un exemple concret, si vous aviez comme rêve de devenir psychiatre et qu'en cours de route vous ne réussissez pas à obtenir les résultats scolaires requis pour être admis à la faculté de médecine, la plupart des gens tenteraient de trouver quelque chose de plus facile à réussir et très souvent dans quelque chose de complètement différent. Pourquoi ? Dans bien des cas c'est parce que leur estime de soi est touché et ces personnes croient qu'ils doivent se diriger vers des domaines beaucoup plus simple à réaliser, même s'ils ont moins d'intérêt dans ces domaines.

Le secret pour réussir ? Identifier réellement ce que vous aimiez dans le fait de devenir psychiatre et identifier les domaines qui se rapprochent le plus de ce qui vous attirais dans le domaine de la santé mentale. Continuez à taper sur le clou d'une manière ou d'une autre, mais surtout continuez à agir dans le sens de vos rêves, faites confiance en l'avenir et vous découvrirez des chemins et des voies qui vous rapprocherons de vos rêves ultimes.

Le grand bénéfice de toujours aligner ses agissements sur la réalité la plus rapprochée de ses rêves, est le plaisir qu'on y prend à chaque petite victoire, avec le temps on se rend compte que notre persévérance nous rapprochent toujours un peu plus de nos objectifs. Parfois c'est long, très long, mais le jeu en vaut la chandelle parce qu'en cours de route on se rend compte que de réaliser ses rêves c'est beaucoup plus un cheminement de vie que n'importe quoi d'autre.

Lorsque vous découvrirez que de réussir à apporter des ajustements, des changements dans la manière de parvenir à réaliser vos rêves sera votre plus grande réussite. Vous sentirez en vous ce sentiment qu'on éprouve à ne pas se laisser faire par la vie et à profiter des opportunités de la vie malgré les embûches et les événements difficiles de cette vie. Vous découvrirez que vous êtes capable de faire face à la vie dans toutes les conditions et quand même réussir à réaliser un très grand nombre de vos rêves.

lundi 19 octobre 2009

Le code d'éthique de nos élus

Avec toutes les situations et les informations troublantes que nous recevons de la part des médias, c'est vraiment inquiétant de vivre dans une société gérée avec des gens ayant un code d'éthique, disons, questionnable.

Qu'est-ce qui incite ces personnes à agir de la sorte ? Il faut savoir que le nerf de la guerre en politique c'est l'argent. Pour avoir une bonne chance de se faire élire, il faut beaucoup d'argent et beaucoup de bénévoles. La recette est simple, plus vous réussissiez à aller faire voter ceux qui sont en votre faveur, meilleur sont les chances de gagner. Pour réussir cet exploit il est nécessaire d'avoir des tonnes de bénévoles et beaucoup d'argent pour gâter ces bénévoles ainsi que beaucoup d'argent pour attirer les gens qui oeuvrent dans des organismes et qui influencent leurs membres.

Donc, pour gagner ça prend de l'argent, chose que les parties politiques n'ont pas en quantité suffisante dans la plupart des cas. Je ne dis pas que de gagner des élections est la seule raison pour laquelle le code d'éthique des élus est douteux, mais ça commence souvent de cette façon. Une fois qu'on se met la main dans le tordeur, il est difficile de la ressortir sans la perdre.

De plus, lorsqu'on analyse le nombre d'heures travaillées par ces élus versus ce qu'ils reçoivent comme rémunération, il est bien certain que nos élus ne vont pas se rendre riche avec ces salaires qui sont plus que moyens. Si on faisait le calcul du taux horaire en fonction des heures qu'ils doivent consacrer à leur travail, il ferait partie des pauvres de cette société.

Donc, en tant que représentant de la société, avec d'importants pouvoirs décisionnels, il est facile pour la plupart de ces êtres humains de se sentir important, ce qui veut dire par le fait même d'être traité comme tel. Ce qui n'est pas le cas, puisque nos élus sont critiqués jour après jour et que leurs comportements sont scrutés à la loupe comme s'ils étaient des bandits de grand chemin. Résultat final, bons nombres de ces élus sont tentés d'accepter de se faire gâter par des entrepreneurs qui appliquent efficacement le proverbe "la fin justifie les moyens".

Je ne veux pas pousser plus loin l'analyse de cette situation, je voulais seulement vous donner des pistes de réflexions sur la situation que vivent nos élus et du risque qu'engendre le manque de financement des partis politiques ainsi que du fait de sous payer ces mêmes élus.

Selon votre point de vue il serait intéressant d'avoir plusieurs points de vue de la communauté, qui sait, à partir de ces commentaires, peut-être pourrions-nous faire des suggestions à nos élus. La parole est à vous.

vendredi 16 octobre 2009

Les effets de l'information négatives

Tout ce qui entre dans notre esprit agit de manière plus ou moins forte dans notre esprit d’une façon ou d’une autre. Il ne faut pas être naïf et croire que nous sommes en mesure de bien gérer le lot d’informations auquel nous sommes exposés. Nous devons à tout prix choisir ce qui entre dans notre esprit, nous devons éviter au maximum de s’exposer aux sources d’informations négatives et qui ne sont pas des divertissements ou des sources éducatives.


La vie doit être vécue en ayant le sens du plaisir et de l’évolution de la race humaine. Tout autre objectif dans la vie se doit d’être en accord avec ces deux principes fort simple, mais combien difficile à respecter lorsqu’on laisse entrer n’importe quelle information dans notre esprit. Volontairement je soustrais toute allusion à quelque notion de foi ou de religion dans cette énoncée, s’il vous plaît de l’inclure, elle se confond très bien dans l’évolution de la race humaine, à moins bien sûr d’avoir la foi ou une religion régressive ou fermée.

Nourrir son esprit n’est pas une simple tâche, il n’est pas facile de choisir l’information que nous acceptons de recevoir, la plupart du temps nous recevons ces informations bien involontairement et sans avoir le contrôle ou même le choix. Par contre, une grande quantité d’informations que nous recevons est entièrement sous notre contrôle, il n’y a qu’à penser aux choses les plus simples tel que les nouvelles télévisées, les journaux et même un jusqu’à un certain point ce qui est accessible sur Internet.

Bon nombre de personnes attribuent leurs sentiments dépressifs, négatifs, colériques à leurs enfances, leurs situations financières, leurs contextes social désavantageux et même à leur conjoint. En réalité il y a certainement un peu de tout cela, mais pour la plupart d’entre nous, il y a surtout le fait que les informations que l’on reçoit au quotidien alimentent ces sentiments. Pire encore, plusieurs personnes développent de nouveaux problèmes qui ne font même pas partie de leurs vies, autrement dit, on s'invente de nouveaux problèmes.

Il faut vraiment se poser de sérieuses questions sur ce que nous écoutons, lisons et regardons, les effets de ces informations négatives auquelles nous sommes confrontées sont réellement nuisibles.

jeudi 15 octobre 2009

Pourquoi aider les démunis

La difficulté avec ce type d'aide vient souvent du fait qu'on se demande si l'argent qu'on envoie se rend à bon port, qu'elle est utilisée aux bonnes fins. On se pose aussi la question si ces démunis ne sont pas des abuseurs de la société.

Y-a-t-il vraiment des abuseurs ? Bien sûr, mais soyons sérieux, la majorité des gens dans le besoin ont vraiment besoin d'aide et ils ne désirent pas y demeurer toutes leurs vies Souvent ces gens sont confrontés à une situation temporaire ou encore dans bien des cas c'est la maladie qui en est la cause et les retient dans cette situation.

Pas facile de se sortir de ce genre de position lorsqu'on est au prise avec une maladie mentale, une maladie chronique qui nous empêche de trouver un emploi ou de devenir entrepreneur. La majorité des gens dans le besoin sont aux prises avec ce genre de problème, pour les autres ce sont des personnes qui généralement sont vraiment convaincues qu'ils peuvent défier le système! Dans quel but, je ne saurais vous répondre, cette façon de penser m'échappe.

Maintenant, lorsqu'on fait des dons, est-ce que l'argent se retrouve vraiment dans les mains des bonnes personnes et est-ce cet argent est utilisé adéquatement. Une question très difficile à répondre. Pour avoir la bonne réponse il faut que vous fassiez une enquête vous-même avec l'organisme qui vous intéresse. Je conviens que cette démarche est exigeante, mais si vous êtes vraiment sérieux, ça vaut la peine de faire l'exercice avant d'envoyer cet argent si durement gagné.

Que faire pour nos amis de la rue, ceux qui nous demandent de l'argent un peu partout et qui dans bien des cas n'ont même pas trente ans? A vous de décider, mais lorsque vous regardez ces personnes, essayer de penser à ceci ; croyez vous vraiment que ces personnes sont heureuses de se retrouver dans une situation semblable? Qu'est-il arrivé à leurs rêves d'enfant de devenir astronaute, médecin ou pompier? Juste de se poser la question nous fait réaliser que ces personnes ont certainement vécus des choses très négatives pour se retrouver dans la rue de cette façon. Il ne faut pas les juger, il faut tenter de comprendre et imaginer une vraie façon de les aider, pensez-y.

mercredi 14 octobre 2009

La critique - Un comportement à proscrire

Se faire critiquer, faire une critique, peu importe, même le mot est agressant dès le départ. Au palmarès des types de critiques il y a la "critique constructive"! Quelle aberration, comment une critique peut-elle être constructive ? Par définition une critiques est un blâme c'est aussi simple que cela.

Il est tellement facile de critiquer les gens qui agissent, de critiquer la décoration, l'organisation, la manière dont les gens sont habillés, comment les gens s'y prennent pour faire des choses. Je veux vous faire remarquer que peu importe la critique, celui ou celle qui la reçoit est instantanément affectée négativement. Il n'est pas possible de construire si on commence par blâmer.

Si votre intention est vraiment d'intervenir positivement, je vous suggère de ne jamais critiquer, mais simplement de poser des questions pour comprendre le processus qui a été utilisé et ensuite ré-expliquer l'objectif et les résultats attendus pour ensuite travailler sur des modifications à partir de suggestions et d'exemple similaire que vous pourriez présenter pour présenter plus clairement votre point.

Je ne veux pas dire que vous avez tort de critiquer, je comprends que dans bien des cas c'est légitime et nécessaire. Cependant, si vous désirez augmenter vos chances d'être écouté avec attention et que vous désirez sincèrement aider les gens, il est primordial de ne pas confronter les gens si vous désirez avoir l'écoute de ces mêmes personnes.

Réfléchissez à la façon avec laquelle vous pourriez expliquer votre point de vue, vos directives sans commencer par une critique. Je vous garanti dès le départ qu'il sera plus facile pour vous d'aller régler des situations avec les autres puisque vous aurez une VRAIE approche constructive.  

lundi 12 octobre 2009

Savoir quoi faire de sa vie ?

Voilà une question à laquelle la majorité des gens ont une très grande difficulté à répondre. Certaines personnes ont une passion ainsi qu'une prédisposition naturelle pour réussir dans ce qui les passionnent, mais ces personnes sont des exceptions. Pour les autres, tout comme moi, nous avons plusieurs champs d'intérêts, sans que ce ne soit nécéssairement des passions, mais nous n'avons pas encore développé nos talents et nos habiletés pour réussir à s'orienter vers un de ces champs d'intérêt.

Cette situation semble une cause perdue, mais ce n'est pas le cas. Disons simplement que nous devons emprunter la voie de l'expérimentation pour nous aider à mieux définir ce que nous voulons faire et ce que nous ferons pour y parvenir. De plus, il faut y ajouter les hasards de la vie, les rencontres avec des personnes qui vous influenceront, qui sauront vous guider, ajouter à cela les événements de la vie qui vous forceront à faire des choix parfois difficiles, forçant ainsi des changements importants dans votre vie.

Peu importe ce qui se passera dans votre vie, le plus important est d'apprendre à regarder la vie telle qu'elle est et de vous regarder telle que vous êtes. Il faut croire en son potentiel, mais il faut apprendre à vous fixer des objectifs suffisamment grands pour vous forcer à sortir de votre zone de confort. Faites une rétrospective de votre vie et vous constaterez que chaque fois que vous avez appris quelque chose, que vous avez développé de nouvelles connaissances et de nouvelles habiletés, c'était dans des situations dans lesquelles vous n'étiez pas à l'aise, exigeant de votre part un effort supplémentaire pour passer au travers de la situation.

Plus vous oserez expérimenter, plus vous découvrirez vos talents et meilleurs sont les chances de découvrir ce que vous ferez de votre vie. Le secret c'est l'action et de se faire confiance, mais ne soyez pas pressé, prenez le temps nécessaire pour y arriver.

vendredi 9 octobre 2009

Toutes mes félicitations Monsieur Obama pour votre prix Nobel

Le prix Nobel à été remis à un homme de coeur. Ce prix Nobel de la paix pourrait aussi bien être appelé le prix Nobel de la gestion pro-active. Pourquoi ? Monsieur Obama a certainement mis des efforts considérables pour ramener la recette de l'approche diplomatique pour régler les conflits plutôt que de brandir la menace de guerre, grande spécialisation de son prédécesseur. Cependant, Monsieur Obama a agi sur un nombre sans précédent de reforme sur des sujets sensibles et qui ont des impacts majeurs sur la vie des citoyens Américains.
Je ne donnerais pas le Bon Dieu sans confession à Monsieur Obama, ni à personne d'autre d'ailleurs, mais jusqu'à présent, dans des circonstances vraiment difficiles, il a su faire réagir et faire bouger concrètement et positivement les dirigeants des grandes sociétés. Il a réussi à ébranler les chasses gardées de ces bandits à cravate à un point tel qu'ils sont de moins en moins à l'abri dans leur canne de verre.
De remettre le prix Nobel de la paix à Monsier Obama me fait chaud au coeur parce que l'exemple de cet homme donne un mince espoir que la race humaine a peut-être une chance d'évoluer vers un monde meilleur. Il y avait longtemps que cette planète n'avait pas eu une telle inspiration venant de la part d'un dirigeant en position d'agir, d'influencer et de faire bouger les choses. Heureusement pour nous, Monsieur Obama est un homme d'action qui ose faire des choses, pas toujours avec succès, mais on ne fait pas d'omellette sans casser des oeufs.

jeudi 8 octobre 2009

À 1 jour du spectacle du clown astronaute et de sa bande de terriens

Demain soir nous aurons la chance d'assister à la présentation d'un spectacle de sensibilisation sans précédent sur la ressource naturelle la plus précieuse de la terre, l'eau. Ce message sera d'une importance capitale et sera diffusé aux quatre coins du monde. Monsieur Laliberté a décidé de bien utiliser sa notoriété publique combiné à son aventure extra planétaire sans précédent pour un citoyen sans formation spécialisée.

L'importance de ce message permettra à un nombre incroyable de personne d'être sensibilisée et de comprendre un peu mieux les défis à relever en tant que citoyen ordinaire, chefs d'entreprises et bien sûr responsables gouvernementaux. La diffusion de ces informations nous permettra à tous et chacun de comprendre ce que nous pouvons faire pour notre prochain et comment nous pouvons agir concrètement.

Même si nos actions ont un impact minime sur la situation il ne faut certainement pas sous-estimer que la somme de ces impacts représente une somme considérable qui peut vraiment faire la différence. L'union fait la force et c'est vraiment un des messages qui seront transmis au cours de cette présentation demain soir.

mercredi 7 octobre 2009

Les vacances à tous les jours

Est-ce que votre employeur vous demande de rester connecté à votre travail intellectuellement et émotivement, en dehors de vos heures de travail ? Pour la plupart d’entre nous ce n’est pas le cas, mais plusieurs personnes n’arrivent pas à faire la transition entre les heures passées au travail pour gagner leur vie et les heures de libertés après le travail. Vous avez bien lu, les heures de liberté, ces heures sont les vôtres, c’est le temps que vous avez de libre pour penser à ce que vous voulez, faire ce que vous voulez et organiser ce temps libre à votre guise sans avoir à répondre des résultats de vos actes à un patron ou à un client : vous êtes en vacances!
Pas besoin de chercher de midi à quatorze heures pour comprendre le principe. Bien sûr, vous avez d’autres types d’obligations à rencontrer qui vous demande du temps. Si vous pensez que lorsque vous prenez des vacances, vous n’avez pas d’obligation comme dans la vie de tous les jours, il faudrait peut-être revenir sur terre. La seule activité que vous ne faites pas en vacances, c’est de travailler pour gagner votre vie. Pour tout le reste, vous avez à peu près les mêmes obligations, mais elles sont faites dans un contexte différent. Les obligations ne changent pas beaucoup, mais le contexte est tout à fait différent. C’est pourquoi vous devez approcher vos moments de liberté avec une vision identique à celle de vos vacances.

mardi 6 octobre 2009

Les élections municipales au Québec

Est-ce un sujet qui intéresse l'ensemble de la population ? Malheureusement non. Nous vivons dans une démocratie toute tranquille, sans trop de chahut et qui ne se révolte pas, peu importe ce que nos élus nous font endurés. Lorsque je parle des élus, je veux parler bien sûr tous les élus, municipal, provincial et fédéral. C'est la tout le problème, nous tenons pour acquis que ces individus feront ce qu'il y a de mieux pour la communauté sans faire trop de dégâts.
Le manque de participation aux élections municipales est dangeureux pour certaines villes. Dans certain coin de la province, les élus municipaux ne sont pas ce qu'il y a de plus, disons de plus transparent. Les conflits d'intérêt ne manquent pas et dans bien des cas les petits commerçants de ces régions sont les perdants.
Mauvaises nouvelles, ce n'est pas différent dans les grandes métropoles, pensez à Montréal en ce moment, pas besoin d'en dire plus.
Comme citoyen nous devons protéger cette liberté, cette démocratie qui nous permet d'exprimer nos idées et nos choix avant, pendant et après les élections. Vous pensez qu'un petit ne fait pas la différence ? Demander à certains élus ce qu'ils en pensent et faite quelques recherches, ce que vous y découvrirez vous aideras à comprendre que chaque vote est crucial et vital, surtout au nom de la liberté d'expression.

lundi 5 octobre 2009

Les activités physiques

Vous trouvez difficile de faire de l’exercice, oubliez les programmes d’entraînement si vous n’êtes pas une personne active. Vous aurez de bien meilleurs résultats si vous trouvez une activité qui vous plait, qui ne vous demande pas d’investir illogiquement et qui soit d’une durée d’au moins 30 minutes par jour environ 4 à 5 jours par semaine.


Les résultats seront lents, mais constants. Plus votre santé et votre forme physique s’amélioreront, plus vous aurez envie de bouger et de vous amuser. Amusez-vous lorsque vous faites des activités, autrement, vous arrêtez rapidement cette routine parce qu’elle sera ennuyante. Sachez que de perdre du poids d’une manière intelligente se fait lentement tout simplement parce qu’il est fort probable que votre prise de poids s’est déroulée sur plusieurs années.

vendredi 2 octobre 2009

L'environnement - Notre influence

Il n’est pas facile de s’impliquer à grande échelle quand on n’a pas les connaissances et une position décisionnelle qui permettent d’agir à grande échelle, mais ceci ne veut pas dire pour autant que vous ne pouvez avoir d’impacts sur les solutions.
Pourquoi s’impliquer si notre influence est si faible ? Comme toute chose, lorsqu’on doute que ça puisse se régler, il faut prendre le taureau par les cornes et agir. Même si vos actions sont à très petites échelles, elles ont un impact sur votre environnement immédiat et peut-être influencerez-vous quelqu’un d’autre qui fera la même chose que vous. Il n’y a pas de façon magique d’influencer les autres : il faut agir et donner l’exemple.

jeudi 1 octobre 2009

La vie est courte - Croyez en vous

Combien de fois vous as-t-on dit d'en profiter parce que la vie était courte ? Souvent, très souvent, mais avez-vous bien compris le sens de cette affirmation ? Je vous propose de prendre quelques instants et de faire une réflexion sur ce que vous aimeriez vraiment faire dans la vie. Agissez maintenant, mais prenez le temps de trouver ce que vous aimez vraiment dans la vie, de trouver ce qui vous allume vraiment, ce qui vous empêchera de dormir parce que vous serez trop excité à l'idée d'attendre pour le faire. Est-ce si difficile de croire en vous, je vous le demande ?