Suis ton coeur, pour que ton visage brille durant le temps de ta vie Plathotep

vendredi 29 janvier 2010

Pourquoi devrait-on s'intéresser à la politique?

Avant de commencer, un peu d’étymologie afin que chacun sache d’où vient le sens du mot « politique ». En fait, « politique » se construit à partir d’une racine grecque « polis » qui signifie « cité »,, « ville ». La politique, à l’origine, consiste en ce qui est du traitement des affaires de la cité.

Aujourd’hui cette définition, bien qu’elle soit élargie à la notion de peuple et d’état, n’en demeure pas moins actuelle. Aussi, bien qu’un certain nombre de professionnels de la politique aient tendance à salir ce terme, la définition de la politique n’en demeure pas moins claire : « c’est l’ensemble des dispositions publiques qui doivent régler la vie du peuple citoyen ».

Ainsi, que nous le voulions ou non, nous sommes tous impliqués dans la chose politique, ne serait-ce parce que c’est au niveau politique que se prennent les grandes directions sociales et économiques qui vont nous permettre, nous citoyens, de mieux vivre.

S’intéresser à la politique ça veut dire « jeter un œil » sur ce que décident nos représentants, nos élus et tenter de comprendre ce qu’ils font. Il est fondamental de pouvoir analyser les décisions qui sont prises puisque ces décisions nous concernent.

Mais s’intéresser à la politique n’est pas seulement un simple jeu d’intellectuels, c’est également un devoir, un devoir citoyen. Nous ne pouvons nous en délester sans avoir à en payer le prix. Car en effet, dès que le pouvoir politique, sent la pression populaire diminuer, il s’empresse de faire passer des lois qui lui permettront de se maintenir en place, d’augmenter ses privilèges et de s’enrichir plus encore et cela de façon tout à fait légale.

Quelque soit le parti au pouvoir ou la personne représentant ce pouvoir, il nous faut demeurer vigilants : n’oublions pas que c’est avec l’argent citoyen que les politiciens sont payés. Faire de la politique ce n’est donc pas entrer dans une logique partisane et chercher alliance et électorat quitte à jouer de compromission et de mensonge (promesses électorales).

Faire de la politique, du point de vu du citoyen, c’est veiller à ce que nos élus demeurent à la seule place qu’est la leur, c’est-à-dire à la place de serviteur. Le citoyen ne doit pas oublier que son élu est son serviteur. Le citoyen c’est le peuple et l’élu est au service du peuple. C’est là un principe démocratique trop souvent oublié.

Mais attention, cette citoyenneté doit être éclairée. Nul ne peut prétendre à revendiquer sa citoyenneté s’il n’est pas capable d’avoir au moins un peu d’analyse politique. C’est pour cela qu’il lui faut aller dénicher l’information concernant tel programme ou telle action gouvernementale. Il faut garder l’esprit critique et demeurer dans cette vigilance civique sans quoi, sous couvert de démocratie, le pouvoir politique tombe aux mains des moins honnêtes d’entre nous et des plus arrivistes.

Pour maintenir leur pouvoir ces politiciens se font trop souvent les partenaires complaisants de professionnels de la communication. Ces professionnelles de la manipulation informationnelle leur assurent une médiatisation propre à transformer la démocratie en démagogie.

Pour récapituler, je dirais que la chose politique est l’un des domaines de compétence du citoyen, à condition que ce citoyen fasse un minimum d'effort pour comprendre les actions des politiciens, sans quoi il sera incapable d’être réactif sur les questions qui se posent à la société et auxquelles nos chers politiciens donnent des réponses.

Parce que certains d’entre nous ont fermé trop longtemps les yeux, par fainéantise, ou par médiocrité intellectuelle, sur les affaires politiques, nous héritons d’une société que nous n’avons peut-être pas désirée, mais que nous méritons. Ne pas s’intéresser à la politique revient à laisser les coudées franches aux plus véreux, aux plus vénaux, aux plus hypocrites des politiciens et finalement à se trouver, un jour ou l’autre, dans la une situation intolérable.

Le bien-être de la vie en société commence par une gestion décente et convenable de cette société qui est la nôtre, ensuite, il est beaucoup plus facile de nous épanouir comme individu.
 
Que faites-vous pour vous tenir informé et comment faites-vous savoir votre désaccord lorsque vous pensez qu'il faut changer les choses ?

jeudi 28 janvier 2010

Se sentir rejeté - Comment s'en sortir

Trop souvent, lorsque nous pensons avoir été rejetés ou que nous sommes désappointés, nous nous décourageons et nous nous disons : « Ce n’était pas pour moi. Je pense bien que je ne suis pas assez bon pour ce poste ». Lorsque ces désappointements nous frappent, c’est normal d’être un peu ébranlé. Nous voulons alors nous relever le plus vite possible. Nous ne voulons pas laisser nos rêves mourir ou s’éteindre.

Nous voulons comprendre que dans chaque évènement qui ne tourne pas comme nous voulons, il y a toujours une nouvelle opportunité ou une nouvelle porte qui s’ouvre. Notre travail et notre mission c’est
de découvrir cette nouvelle porte.

Souvent, nos plus grandes opportunités émergent de nos plus grandes déceptions. C’est parfois confortable. Souvent, nous n’aimons pas la sensation, cependant, nous ne pouvons pas faire l’erreur de nous asseoir et de rester où nous sommes.

De nos plus grandes déceptions émergent nos plus grandes possibilités. Prenons par exemple un érable. Si nous le plantons dans un pot, sa croissance sera bientôt très limitée. Une fois que les racines ont rempli le pot, l’érable ne pourra plus croître. Le problème n’est pas l’érable, mais bien son environnement.

L’environnement limite la croissance de l’arbre. Peut-être avons-nous dans notre coeur de plus grandes choses à accomplir que notre environnement peut supporter. Lorsque nous passons au travers de moments difficiles, ce n’est pas nécessairement parce que nous sommes dans l’erreur. Parfois, c’est de cette façon qu’on se fait indiquer ou montrer la prochaine étape. C’est parfois la petite poussée dont nous avons besoin.

Profitons de cet exemple pour appliquer et comprendre les étapes de la guérison. La partie de rejet ou désappointement est la première étape. C’est à ce moment que nous réalisons la souffrance ou la déconnexion associée au désappointement. Si nous n’acceptons pas cette réalité, si nous l’évitons, si nous blâmons les autres, nous-mêmes et les circonstances, nous aurons de la difficulté à nous relever.

Lorsque nous commençons à souffrir, immédiatement nous nous relevons et nous commençons à chercher des gens ou des événements qui pourraient nous aider. Nous sommes à la deuxième étape. Nous tentons d'identifier rapidement : « Quelle est cette personne qui peut m’aider ». L’aide provient toujours de l'extérieur et d'un nouvel apprentissage. Parallèlement, nous rejetons le blâme sur des événements extérieurs ou les autres.

Puis vient la réalisation que ce ne sont pas les autres ou les circonstances qui ont créé le problème. Tout devient clair. Nous qui sommes responsables de ce qui nous arrive. Comment se fait-il que je me retrouve toujours dans des circonstances ou avec des personnes similaires ? C’est la frustration et la sensation d’être pris et de tourner en rond. C’est comme être pris dans la neige. Les roues tournent, mais l’auto n’avance pas.

C'est à cette étape, lorsque nous reconnaissons que nous sommes pris, que nous nous sommes mis dans ces situations, que nous pouvons reprendre notre pouvoir, prendre action et changer les choses de l’intérieur.

Finalement, la dernière étape consiste à agir concrètement. Cette dernière étape est sans aucun doute la plus difficile et celle qui prendra le plus de temps à se réaliser. Pour ne rien vous cacher, ce sera aussi l'étape la plus difficile à réaliser, mais les effets positifs sur votre vie seront sans précédent.

Si vous vivez une situation dans laquelle vous vous sentez constamment rejeté, oser sortir de cet environnement  qui ne correspond pas à vos rêves et à vos aspirations.

mercredi 27 janvier 2010

Savoir écouter

Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me donner des conseils, tu n'as pas fait ce que je te demandais.

Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me dire pourquoi je ne devrais pas ressentir cela, tu bafoues mes sentiments.

Quand je te demande de m'écouter et que tu sens que tu dois faire quelque chose pour résoudre mon problème, tu ne m'aide pas, aussi étrange que cela puisse paraître.

Ecoute, tout ce que je te demande, c'est que tu m'écoutes.

Non que tu parles ou que tu fasses quelque chose : je te demande uniquement de m'écouter.

Les conseils sont bon marché, j'aurai dans le même journal le courrier du coeur et mon horoscope.

Je veux agir par moi-même, je ne suis pas impuissant, peut-être un peu découragé ou hésitant, mais non impotent.

Quand tu fais quelque chose pour moi, que je peux et ai besoin de faire moi-même, tu contribues à ma peur, tu accentues mon incapacité.

Mais quand tu acceptes comme un simple fait que je ressens ce que je ressens (peu importe la rationalité) je peux arrêter de te convaincre et je peux essayer de commencer à comprendre ce qu'il y a derrière ces sentiments irrationnels.

Lorsque c'est clair, les réponses deviennent évidentes et je n'ai pas besoin de conseils.

Les sentiments irrationnels deviennent intelligibles quand nous comprenons ce qu'il y a derrière.

Peut-être est-ce pour cela que la prière marche, parfois, pour quelques personnes, car la divinité est muettte.
  • Il ou elle ne donne pas de conseils
  • Il ou elle n'essaye pas d'arranger les choses
  • Ils écoutent simplement et te laissent résoudre le problème toi-même.
Alors, s'il te plaît, écoute et entends-moi.

Et si tu veux parler, attends juste un instant et je t'écouterai.

mardi 26 janvier 2010

Comment accompagner les adolescents dans leurs développements de vie sans les envahir

Malgré leurs comportements d’assurance qui sont les leurs, les adolescents sont souvent rongés d’angoisse et de doute. Ils ont donc terriblement besoin que les adultes et singulièrement leurs parents, leur manifestent de réguliers témoignages de leur confiance.

Un coup d'oeil au comportement des parents dans la communication avec un adolescent

La confiance en soi est à la base de toute possibilité de réussite. Plus nous sommes persuadés que notre enfant peut réussir, plus il croira en lui et plus ses chances de réussite dans ses projets seront grandes.

Porter un jugement négatif sur l’adolescent en tant que personne, même pour rire ou sous forme de taquinerie, c’est risquer de le marquer profondément et de l’ancrer négativement dans des images de perdant qui auront des impacts négatifs sur son estime de soi. En agissant de la sorte, on colle sur l’adolescent une étiquette qui risque de l’accompagner tout au long de sa vie. Même une fois devenu adulte, il continuera à s’enfermer dans les croyances limitantes que vous lui avez ainsi collé à la peau.

Veillez aussi tout particulièrement à bien gérer votre communication non-verbale. Rien ne sert en effet de réciter un discours positif, si tout dans votre attitude dénote le contraire. Ainsi, il est des regards ou de simples mouvements de tête qui en disent bien plus long que de trop longs discours.

Votre adolescent n’est ni bon ni mauvais. Seuls ses résultats sont éventuellement quantifiables de la sorte et encore, qui sommes-nous pour critiquer un résultat!  On veillera ainsi à systématiquement mettre en évidence les évolutions de résultats plutôt que se centrer sur l’un d’entre eux en particulier. Les évolutions, moins brusques, permettent de mieux anticiper les dérapages et de prendre du recul sur les raisons des résultats, disons moins acceptables.

Il est impératif de refuser systématiquement de culpabiliser l’erreur chez l’adolescent. Il s’agit au contraire de la dédramatiser et de lui rendre un statut d’indice d’un cheminement d’apprentissage. C’est dans la mesure où il se montrera capable d’identifier ses erreurs, d’oser les montrer et en parler, de se pencher dessus avec sérénité pour tenter de les comprendre, que l’adolescent sera capable de les utiliser, c’est-à-dire d’en apprendre quelque chose. Or, l’erreur, chacun le sait désormais en pédagogie est source d’apprentissage. Souvenez-vous que pour apprendre il faut l’oser.

Comment réussissez-vous à guider vos adolescents sans imposer vos façons de faire ?

Et vous chers adolescents (jeunes adultes), comment réussissez-vous à guider vos parents pour qu'ils vous laissent faire vos apprentissages sans toujours intervenir ?

lundi 25 janvier 2010

Finances personnelles : 6 erreurs classiques

Source: http://www.cafedelabourse.com/

Nos sociétés contemporaines sont fondées sur la consommation et les biens matériels. Tout y est fait pour faciliter les achats. Le résultat de cette mentalité est l’endettement des ménages et un taux d’épargne très faible dans certains pays.

Il est clair que les premiers consommateurs à crédit sont les Américains. Le taux d’endettement des ménages y connaît une hausse ininterrompue depuis 1952 et seulement amorcé un déclin fin 2008.

Ainsi, pour beaucoup de personnes, vivre au-dessus de ses moyens est une chose normale. Mais le retour à la réalité peut être violent et il peut être très dur, voire impossible redevenir à la solvabilité.

Ici, nous exposerons six des erreurs les plus courantes en matière de gestion de ses finances personnelles.

1. Attention aux dépenses superflues
D’une manière générale, les dépenses de tous les jours en café, cigarettes, restaurants ou encore location de films ne paraissent pas énormes et sont supportables pour une personne ou un ménage. Ces extras font plaisir, mais mises bout à bout, elles représentent des sommes importantes en fin d’année ou même en fin de mois.

Par exemple, une personne qui fume et achète quatre paquets de cigarettes à 5 euro par semaine dépensera en tout 1 040 euro dans l’année. Cette somme pourrait servir au remboursement d’un appartement ou d’une voiture.

Si on ajoute aux dépenses de cigarettes 2 euro par jours pour des café et 100 euro de restaurant par mois, c’est alors 1930 euro supplémentaires qui sont dépensés dans l’année. En ajoutant les 1 040 euro de cigarettes, c’est près de 3000 euro annuels qui partent ainsi dans les “loisirs”.

Pour une personne ou un foyer qui serait déjà en situation délicate ou limitée au niveau financière, l’importance de ces dépenses méritent que l’on s’y attarde.

2. L’accumulation d’échéances sans-fin
Quand les problèmes d’argent font surface ou lorsque l’on souhaite économiser, il faut se demander s’il ne serait pas judicieux de réduire son train de vie en (re)définissant ce dont on a réellement besoin.

En effet, est-ce qu’un abonnement au câble, à des jeux vidéo ou un forfait de téléphone surdimensionné sont des dépenses prioritaires ? Surtout que la plupart de ces paiements ne permettent pas d’acquérir un bien physique à l’échéance.

3. Vivre à crédit
Il faut faire attention à ne pas dépenser plus que ce que l’on gagne. Cela peut sembler évident, mais ce n’est pas toujours facile.

Aujourd’hui, les facilités de paiement et les incitations à l’achat poussent les gens à la dépense impulsive. Et ce, souvent avec de l’argent qu’ils ne possèdent pas. Ces dépenses à crédit rendent les achats extrêmement chers du fait des taux d’intérêt élevés qui sont pratiqués.

On peut citer en exemple les crédits à la consommation assortis de taux exorbitant ou les cartes de crédit.

4. Acheter une nouvelle voiture
La plupart des personnes qui achètent une voiture le font par un emprunt. En effet, peut de clients peuvent se permettre de payer une voiture comptant. Ce qu’il faut garder à l’esprit, c’est qu’une voiture est un bien qui se déprécie très vite et coûte de l’argent tout au long de sa vie.

Ainsi, une personne qui s’endette pour acheter une voiture achète un bien qui va perdre de sa valeur et qui va lui coûter de l’argent. Cette situation creuse l’écart entre le prix réel de la voiture et le prix qu’on la paye.

Le plus souvent, quelqu’un qui achète une voiture le fait pour répondre à un besoin. Il n’a pas le choix de le faire par l’emprunt. Il faut alors bien définir ses besoins et réfléchir à ce que cela coûtera (à l’achat et durant la vie de la voiture).

Par exemple, la plupart des personnes qui possèdent un 4×4 n’en ont pas une utilité réelle. Or, ces véhicule possèdent plus de chevaux fiscaux que les autres, consomment plus, et sont plus chers à assurer.

5. Acheter une trop grosse maison
Dans la même logique que pour les voitures, l’achat d’une maison nécessite d’établir ses besoins. En effet, une grosse maison coute chère en taxes foncières, en entretien ou encore en chauffage.

6. Votre maison est votre patrimoine
La maison est un patrimoine physique, quelque chose que l’on met du temps à payer mais dont on est propriétaire à la fin.

Ainsi, souscrire une hypothèque dans le but de refinancer ou de dégager des liquidités expose son propriétaire à en perdre la propriété et en plus, à payer des milliers d’euro d’intérêts et d’honoraires.

En conclusion, on trouve différentes mentalités au sujet de l’épargne et de la consommation en fonction des pays.

Par exemple, les Américains vivent à crédit et n’épargne que 1% de leur revenus. Cette situation a, en partie, aggravé la crise que l’on a connue en 2008.

En Europe (France, Pays-Bas, Italie, Norvège), le taux d’épargne moyen est dix fois supérieur à celui des Américains (10%) et pourtant le niveau de vie est sensiblement le même. La preuve que l’on peut bien vivre en gérant bien son argent, sans s’endetter plus que de raison.

Une chose importante à retenir : être capable de régler les mensualités liées à l’achat d’un bien ne signifie pas nécessairement que l’on a les moyens de se l’offrir.

vendredi 22 janvier 2010

L'importance et l'urgence de rire

A n’en plus douter les vertus du rire sont bien réelles ! La liste des bienfaits est longue : calmer le stress, faciliter la digestion le sommeil ou les relations avec autrui, réduire les sensations de douleur, stimuler le système immunitaire, prévenir les maladies cardio-vasculaires.

On sait que pour bien fonctionner notre corps a besoin d'un certain nombre de calories. Il en va de même dans les relations humaines nous avons besoin de nos calories relationnelles et le rire est un l'aliment par excellence pour le fournir.

Avez vous déjà remarqué comme on se sent bien après un bon fou rire, une bonne crise de rire seul, à 2 ou en groupe ! Nous en avons besoin. Rire c’est d’abord du plaisir, l’expression de la joie, de la sécurité. C’est aussi la façon qu’avaient nos ancêtres préhistoriques de signaler la fin du danger auprès de la tribu.

Le rire c’est quelque chose de très relaxant. Si on passe une journée entière sans rire, on risque d’être stressé inutilement et cela pourrait vous attirer des maux de tête et toutes sortes d’ennuis parce qu’on n’est pas relaxe, on est trop concentré, voire préoccupé.

Lorsqu'on dit qu’il faut rire, ce n’est pas de rire sans cesse, mais de se sentir joyeux pendant un moment de la journée et de se laisser envahir par cette joie. Une personne qui est toujours fâchée, boudeuse où en colère et qui ne rit jamais, vieillira tôt, parce que les muscles faciaux deviendront durs et seul le rire peut les relâcher.

De plus, il y a certains métiers que l’on exerce qui requiert de la bonne humeur. Prenons une personne qui travaille avec des enfants dans une école maternelle, elle ne peut en aucun cas passer une journée sans rire même si elle s’est réveillée avec une mauvaise humeur. Car ce métier est fortement porté sur des activités ludiques nécessitant le rire.

Tout ceci pour vous expliquer combien il est important de vous divertir, de rire et de trouver la joie de vivre. C’est sûr que chaque chose à son temps, mais si c’est le temps de rire, faites-le. Parfois vous aimerez bien rire, mais vous êtes bien trop préoccupé par un problème quelconque, sortez un peu, allez au cinéma, au théâtre ou rendez visite à un ami qui pourrait vous aide à vous divertir. C’est sûr que vous vous sentirez mieux. Je vous conseille de ne plus passer une journée sans rire car l’autre a dit : “la plus perdue des journées est celle ou l’on n’a pas ri”.

Le rire est un lubrifiant social, son pouvoir est énorme : il désarme l’agressivité, fait tomber les barrières, assure la cohésion d’un groupe et crée la connivence.

Le rire devrait être remboursé par la sécurité sociale : il dégage les bronches, nettoie les artères, élimine les toxines.

Où sont passés les formidables éclats de rire de notre enfance ?

Alors souriez !!

jeudi 21 janvier 2010

Comment créer des opportunités dans la vie ?

Il est bien connu qu'il faut être ouvert et chercher les différentes opportunités qui peuvent venir à nous. Mais l'accent est rarement mis sur le fait que nous pouvons aussi créer nos propres opportunités. Voici donc quelques conseils utiles.

Afin de comprendre comment les opportunités fonctionnent, il est avant tout nécessaire de savoir que la vie est une question de choix : la vie que vous aurez sera toujours la somme des choix que vous aurez faits jusqu'à votre mort.

Ces choix peuvent donc être considérés comme des opportunités. Chaque jour, vous avez l'opportunité d'améliorer votre vie ou de la rendre encore plus mauvaise. Une des choses les plus importantes en ce qui concerne une opportunité est qu'elle arrive souvent déguisée en mauvais événement.

Par exemple, vous n'êtes pas engagé par l'entreprise que vous souhaitiez intégrer à cause du manque d'expérience dans le domaine. Considérez cela comme une opportunité, comme un travail temporaire dans le domaine en question et vous vous ferez des contacts et gagnerez de l'expérience.

Si vous souhaitez créer des opportunités dans votre vie personnelle, vous devez ouvrir votre cercle social. Trouvez une activité que vous aimez, il y a beaucoup de chances qu'un groupe de personnes partage le même intérêt. Si vous n'avez pas d'intérêt particulier pour un sujet, essayez donc quelque chose de nouveau et ne vous souciez pas des détails : il y a de fortes chances que votre cercle social s'agrandisse ainsi.

Ayez toujours une approche ouverte des choses : si vous vous trouvez dans plusieurs situations que vous considérez comme étant malchanceuses, éliminez les mauvais côtés des événements et voyez ce que vous pouvez en tirer de bon pour l'avenir.

Savoir saisir l’opportunité est un art qui se développe. Les bonnes opportunités, cela se provoque, par des actions concrètes et ciblées. Il ne faut pas attendre que l’opportunité se présente à nous, mais il faut se présenter à l’opportunité. Bien sûr, cela ne marche pas à tout coup, mais le pourcentage de réussite sera bien supérieur !

Comment faites-vous pour créer des opportunités dans votre vie?

mercredi 20 janvier 2010

Le pouvoir du sourire

C'est en premier lieu sur votre apparence que se forge généralement l'opinion des autres et non sur vos paroles. Par exemple un sourire sincère et spontané séduira votre interlocuteur qui l'interprétera comme voulant lui dire "je suis heureux de vous voir, quel plaisir de vous rencontrer, votre présence me ravie."

Un sourire sincère attire toujours la sympathie
Mais attention ! Un sourire artificiel ne trompe personne, il provoque souvent l'effet contraire et l'irritation. Ne sous-estimez pas la puissance de votre sourire.

Un exercice enrichissant
Faites l'excercice suivant: Pendant une semaine, en toutes circonstances, souriez autour de vous et vous serez surpris des résultats ou des réactions que vous provoquerez en ayant adopté cette nouvelle attitude. Le sourie comme le rire produisent une complicité amicale.

Une méthode pour sourire
Pour faire naître sur vos lèvres un sourire sincère il faut avant tout adopter une attitude positive et l'alimenter par votre joie de vivre. Vous n'avez peut-être pas envie de sourire? Votre moral est à la baisse? Vous n'êtes pas joyeux? La méthode suivante vous permettra de rémédier à la situation.

Si vous êtes seul, fredonnez, sifflez ou chantez, agissez comme si vous étiez vraiment heureux. Votre attitude contribuera à vous rendre heureux. Pour retrouver la joie, adoptez les comportements qu'elle provoque chez vous quand elle est en vous. Faites cela en vous souvenant de moments où vous étiez heureux et joyeux.

Le manque d'entrain ne dépend pas des conditions extérieurs ni des autres mais exclusivement de votre attitude mentale.

Nos satisfactions ne viennent pas de ce que nous possédons ou de ce que nous faisons, mais de ce que nous pensons. LE POUVOIR DE VOTRE PENSÉE est infiniment plus puissant que vous ne le croyez, ne le négligez pas. Vos pensées en effet, peuvent indifféremment créer chez vous un état de bonheur ou son contraire. Pour votre réussite il ne suffit que d'une chose: VOULOIR.

Apprenez à conditionner vos pensées afin que celles-ci influencent en retour positiivement votre comportement et votre humeur. Répétez-vous plusieurs fois à haute voix, le soir avant de vous endormir, de courtes phrases comme "je suis positif en toutes circonstances, rien ne peut m'affecter, je suis toujours de bonne humeur, je suis heureux d'être ce que je suis", etc. Soyez convainquand avec vous-même, imaginez des circonstances qui vous mettent en situation avec chacune des phrases.

N'utilisez JAMAIS le mode conditionnel dans vos phrases, ainsi ne dites pas " je SERAIS fort", mais "je SUIS fort", le conditionnel est la source du doute.

Retenez ces 3 principes important:

  • Un sourire ne coûte rien mais rapporte beaucoup
  • Un sourire enrichit celui qui le reçoit sans rien enlever à celui qui le donne
  • Un sourire est un signe d'amitié
"Si vous rencontrez un jour une personne trop lasse pour vous donner un sourire, offrez-lui le vôtre, car personne n'a plus besoin d'un sourire que celui qui n'en a plus à offrir"

mardi 19 janvier 2010

Aujourd'hui est à toi - Une petite pause en poésie

La chose la plus précieuse
Que tu possèdes au monde est "aujourd'hui".

Aujourd'hui, tu peux être heureux.
La plupart de nos misères sont des restes d'hier
Ou des soupçons empruntés à demain

Tous tes hier, Il les a repris,
Tous tes demain sont entre ses mains.
Aujourd'hui est à toi:
Prends-en les joies et sois heureux,
Prends-en les peines et sois toi.
Décide aujourd'hui même
De jouir de ton travail comme de tes loisirs.

Aujourd'hui est à toi:

Vis-le,
Emplis-le,
Chante-le,
De sorte que, toujours, tu puisses dire:

J'AI AIMÉ MES aujourd'hui

Auteur inconnu

lundi 18 janvier 2010

Agir ou attendre

Peu importe ce que nous réserve la vie, nous avons toujours le choix d'agir où d'attendre. Nous avons toujours le choix de se battre pour réussir à réaliser nos rêves, nos objectifs où de laisser les autres diriger notre vie et notre destiné.

Pourquoi est-ce si difficile d'agir pour notre propre bien être?
Bien souvent c'est par manque d'énergie, par manque d'énergie mentale, par manque de conviction et parce que le doute de manquer son coup est plus grand que la certitude de réussir. C'est un bien triste constat, mais c'est malheureusement la triste réalité pour un trop grand nombre de personnes.

La vie semble parsemée de malheur, parce que nous percevons les défis comme des malheurs. Bien peu d'entre nous avons reçu une éducation qui nous fassent voir les malheurs comme des situations tout à fait normales. Comme des étapes de croissance personnelle, comme des événements essentiels pour apprendre à se faire confiance et à ne pas laisser les autres et les événements diriger sa vie.

Comme la vie n'est absolument pas juste, il est tout à fait inutile de se comparer à qui que ce soit sur cette terre, sur les occasions que vous aurez pour réussir une vie heureuse en toute tranquillité. Vous avez votre vie et vous devez apprécier le fait que vous avez toujours des possibilités pour changer ce que vous n'aimez pas de votre vie. Ce n'est pas toujours facile, je vous l'accorde, mais c'est presque toujours possible de le faire à condition d'y mettre l'énergie et de croire en vous, même dans les situations les plus désespérées.

Comment faire pour agir en toutes circonstances?
Rien de plus facile, laissez tomber votre égo et demandez de l'aide immédiatement. Cherchez les gens, les organismes et les informations pour vous aider à démêler votre situation.

Vous croyez que cette explication est simpliste! Je peux vous garantir une chose, à partir du moment que vous déciderez de vraiment régler votre situation difficile, peu importe la situation et que vous ferez appel à des gens compétents, vos chances de trouver des solutions seront décuplées.

Comme vous ne serez plus isolé dans votre monde, le fardeau de votre situation diminuera considérablement. Par conséquent, vous serez moins stressé et vous retrouverez une bonne dose d'énergie. Ne jamais oublier que la douleur et l'anxiété (le stress) sont les deux choses qui réduisent le plus votre énergie.

Les conséquences de l'attente
Il n'est pas difficile de comprendre que si vous laissez les choses se régler elle-même, il y a peu de chance de voir le problème se résoudre de lui-même. Plus vous ignorez une situation, pire seront les conséquences de ne pas tenter de les régler.

La plupart des situations que vous aurez à affronter dans votre vie ne sont pas des drames extrêmes comme ceux que doivent vivre les gens face à des sinistres qui détruisent tout ce qu'ils ont et qui tuent leurs proches.

Si vous décidez d'attendre avant de vous mettre en marche pour régler vos situations difficiles, vous risquez de vous mettre dans des situations qui auront des conséquences sur plusieurs années, des conséquences encore plus difficiles à régler et parfois des conséquences irréversibles.

Soyez votre propre sauveur
N'attendez pas que quelqu'un découvre que vous êtes dans une situation difficile et soyez votre propre sauveur. Soyez la personne qui prend les choses en main et qui mettez en place une équipe de spécialistes, une équipe de confiance pour régler la situation.

Vous avez bien compris ce que je veux vous dire, approchez la situation comme un projet, une aventure dans laquelle vous avez un rôle de déclencheur qui permet à votre équipe de vous aider à trouver le chemin le plus efficace pour sortir de votre situation positivement tout en ayant appris que la vie est moins compliquée avec une équipe.

vendredi 15 janvier 2010

Croire en soi, un comportement essentiel de la vie

Qui mieux que vous peut savoir ce que vous ressentez ? Qui mieux que vous peut savoir ce que vous aimez ?

Pourtant, vous trouverez toujours des personnes qui viendront vous dire ce que vous devez faire de votre vie ou bien encore qui prétendent vous aider pour vous guider dans votre recherche de ce qui est bon pour vous. Sachez qu’il vous appartient de savoir vous affirmer et de croire en vous.

Comment faire pour croire en soi et s’affirmer ?
Si vous avez pris l’habitude de faire ce qu’on vous demande sans jamais vous opposer, même lorsque cela vous pèse, il peut-être difficile de renverser la vapeur, néanmoins, ce n’est pas impossible.

La première chose à faire pour croire en soi, c’est de trouver ce qui vous pousse à chercher l’approbation des autres. En effet, bien souvent, derrière l’envie de satisfaire tout le monde se cachent le besoin d’être aimé ainsi que la peur de décevoir, et d’être rejeté.

Pour réussir à se détacher de ces influences, vous devez prendre confiance en vous. C’est-à-dire apprendre à accorder autant (voir plus)d’importance à ce que vous ressentez qu’à ceux des autres. Il vous faut trouver la justification et le sens de vos actes. Ça ne veut pas dire qu’il faut se fermer aux autres, mais qu’il faut savoir faire la distinction entre ce que vous ressentez et ce que ressent votre entourage.

Bien souvent, notre entourage a tendance à projeter sur nous ses propres peurs et ainsi, à nous limiter. Or pour avancer, il faut parfois faire des choix différents que ceux qui ont été fais avant nous. C’est donc là votre première étape, savoir pourquoi vous cherchez l'approbation des autres et reconnaître la valeur de votre jugement.
Au fur et à mesure que vous prendrez confiance en vous, vous allez apprendre à votre rythme à vous affirmer. Soyez conscients que cette étape demande du temps, aussi, il est important que vous fassiez preuve de patience et d’indulgence vis-à-vis vous-même.

Croire en soi, ça s’apprend, mais il faut être réaliste, si vous avez appris pendant de longues années à taire ce que vous ressentez et à prendre sur vous, il faudra peut-être aussi quelques temps pour renverser ce comportement. Cependant, l’essentiel ce n’est pas le temps que vous mettrez pour atteindre cet objectif, l’essentiel c’est d’arriver à vous réaliser et ce, put importe le temps qu'il vous faudra.

jeudi 14 janvier 2010

La passion et ses effets

Abordons la passion autre que celle de la passion amoureuse. Parlons de la passion d'être, la passion de vivre, la passion de faire ce qui vous anime le plus.

Il faut reconnaître que tout être humain a en lui une passion par laquelle il peut en vivre. La passion n'est-elle pas ce souffle de bonheur, de bien être ressenti faisant abstraction de toutes obligations de travailler pour gagner sa vie. Vous pouvez faire comme travail ce qui vous passionne et je dirais même qu'il est souhaitable qu'il en soit ainsi.

Très souvent vous assurez votre survie au détriment de ce qui vous anime, pour répondre aux besoins de vos proches qui sont des actions concrètes dans le sens du devoir. Le sens du devoir est trop souvent à l'opposition de la passion. La passion, c'est vivre de ce que vous êtes.

La passion, la vraie passion, ne réfère pas aux désirs que vous créez ou que vous empruntez au rythme des courants de la société. La passion surpasse le rêve. La passion vient de vos tripes et non de vos pensées, de votre mental et encore moins de tout le conditionnement que vous avez pu subir. La passion ne s'alimente pas des émotions, elle est la source de ce que vous êtes. C'est ainsi que vous devez vous donner le droit de reconnaître votre passion.

Pour la reconnaître, il faudra bien la trouver et vous avez entièrement raison. Le plus surprenant est que votre passion, pour certains leurs passions, s'est déjà manifestée dans votre vie et ce, plus d'une fois. Les manifestations de votre passion se concrétisent au minimum: à l'enfance, à l'adolescence et au millieu de votre vie.

Trop souvent, votre environnement de vie a tué votre passion. Trop souvent, vous êtes faite dire d'arrêter de rêver ou de désirer l'indésirable. Il est plus prudent, plus sécure, de rester dans les rangs des conformistes, du connu. Vous avez été ramené à vos responsabilités dont celle de survivre et d'assurer votre existence au détriment de répondre à votre passion. Vous pouvez réaliser votre passion tout en assurant votre survie et vos responsabilités.

Il existe un nombre élevé de gens qui vivent de leur passion ou qui ont orienté leur carrière, leur travail en fonction de leur passion. Ces gens sont habituellement heureux, en santé et en harmonie avec eux et avec leur environnement. Par contre, un nombre encore plus élevé de gens refoulent leur passion ou l'exploitent à l'extérieur de leur travail au détriment de leur environnement créant un équilibre de vie fragile. Sans compter le fait que de réaliser sa passion à l'extérieur de leur travail demande beaucoup de temps et que inévitablement le manque de temps frappe de plein fouet et généralement provoque un éloignement émotif avec les gens proches de vous.

Pourquoi voyez-vous tant de changements de carrière ou de réorientation de travail à la mi-temps de la vie? Pourquoi tant de séparations en amour ou en amitié ou au travail au stade de 40 ans et plus? Vous allez dire que ce n'est qu'une simple remise en question, de positionnement. Oui, c'est vrai, mais allons au fond de la question. Remise en question sur quoi? Sur ce qui vous habite, sur ce qui ne s'est pas exprimé en vous encore ou un environnement moins propice où il est difficile de vous réaliser. Ne parlons-nous pas tout simplement ici de votre passion, de votre élan d'être qui revient en surface?

Vous avez toujours le choix et vous serez toujours le seul à décider de reconnaître votre passion et de l'exprimer. Trouver sa passion, c'est se retrouver en tant qu'individu. Ce n'est pas pour rien que très souvent la dernière manifestation de votre passion survient entre 40 et 50 ans. Vous avez le choix d'y répondre, mais sachez que la renier ou la refuser d'y donner vie provoquera des conséquences sur votre bien être, votre santé et votre qualité de vie avec vos proches. Pourquoi tant de « burn-out », de dépression, de fatigue mentale chez des individus de 40 ans et plus? Osez considérer la réponse, apportera le regard sur vous, sur ce qui est en vous, sur votre passion.

Vivre de sa passion ne demande pas nécessairement de remettre en question vos relations avec les gens, votre milieu de travail. Reconnaître sa passion vous demandera seulement de rétablir vos cadres de références, de vous donner les moyens pour l'exprimer. Reconnaître, trouver et exprimer sa passion exigeront de vous un engagement envers vous-même et de marcher vers l'inconnu pendant un certain temps.

Vous avez une passion propre à vous. Retournez à votre enfance, à votre adolescence et remémorez-vous de ce qui vous passionnait, de ce qui vous animait, de ce qui vous faisait perdre la notion du temps, de ce qui vous permettait de ressentir que vous existiez au-delà de la forme.

Est-ce que vous savez ce qui vous passionne? Si oui, est-ce que vous avez réussi à en faire votre gagne pain ? 

mercredi 13 janvier 2010

La logothérapie - Une approche intéressante

Source: Carole Thibaudeau. Tiré du journal Le Soleil, Cahier spécial No. 8, Le plaisir de vivre, Octobre 98.

Viktor Frankl a mis au point une approche de psychothérapie qu’il a baptisée la «logothérapie». (Logos en grec signifie raison.) Dans cette approche, la responsabilité est considérée comme l’essence même de l’existence humaine.

En logothérapie, le thérapeute essaie de faire valoir à son patient quelles sont ses responsabilités. C’est à lui de choisir ce dont il veut être responsable, envers quoi ou envers qui. C’est pourquoi le logothérapeute est moins porté que le thérapeute traditionnel à imposer ses valeurs à ses patients, car il n’accepte pas de prendre la responsabilité à leur place.

Une bonne façon de se mettre dans l’ambiance «logothérapie» consiste à vivre comme si c’était la seconde fois qu’on s’apprêtait à faire les mêmes erreurs. «Imaginez que le présent est le passé, et que vous avez le pouvoir de changer le passé», propose Frankl. On se trouve ainsi confronté au caractère limité de la vie et au caractère irrévocable de ce qu’on fait de sa vie et de soi-même.

Selon la logothérapie, on peut découvrir le sens de sa vie de trois façons différentes.

Premièrement: à travers une oeuvre ou une bonne action.

Deuxièmement: en faisant l’expérience de quelque chose ou de quelqu’un. Ce peut être l’expérience de la bonté, de la vérité, de la beauté, par exemple prendre contact avec la nature ou avec une certaine culture ou ce qui est encore mieux, de connaître le caractère unique d’un être humain à travers l’amour.

La troisième façon de trouver un sens à sa vie réside dans l’attitude à prendre devant une souffrance inévitable. Placé dans une situation désespérée, il reste encore à l’être humain la liberté de choisir l’attitude à prendre: mourir dans la dignité, assumer ses souffrances. «Lorsqu’on ne peut modifier une situation, un cancer incurable, par exemple, on n’a d’autre choix que de se transformer.

«La souffrance n’est pas nécessaire pour trouver un sens à sa vie. Mais on peut trouver ce sens même à travers la souffrance, si celle-ci est inévitable. Si elle ne l’est pas, toutefois, il faudrait en éliminer la cause, qu’elle soit psychologique, biologique ou politique. Accepter de souffrir inutilement relève du masochisme plus que de l’héroïsme. Mais accepter de souffrir avec courage conserve à sa vie son sens jusqu’au dernier moment.

Le calendrier
«Je ne me lasse jamais de répéter que les seuls aspects transitoires de la vie sont ceux qui sont à l’état potentiel, écrit Viktor Frankl. Actualisés, ils deviennent réalité et ils sont préservés dans le passé où ils sont conservés à jamais.»

Frankl raconte la métaphore du calendrier.
 Le pessimiste ressemble à l’homme qui voit avec tristesse son calendrier s’amincir de jour en jour. Par contre, la personne qui aborde avec enthousiasme les problèmes de la vie ressemble à l’homme qui range soigneusement les feuilles de son calendrier après avoir griffonné quelques notes à l’endos. Il peut se pencher avec joie et fierté sur toute la richesse contenue dans ces feuilles.

Que lui importe de vieillir? Pourquoi regretter sa jeunesse? Il est pleinement conscient de la richesse de son passé, qui contient non seulement la réalité du travail accompli et de ses amours, mais aussi de ses souffrances bravement affrontées. C’est encore de ses souffrances qu’il est le plus fier, même si elles ne peuvent pas inspirer l’envie.

mardi 12 janvier 2010

Lâcher-prise, c'est quoi au juste?

Nous avons tous entendus l'expression "lâcher-prise" et souvent cette façon de faire est présentée comme étant "LA" solution à nos maux où à une situation précise. Mais, c'est quoi au juste le processus du lâcher-prise?

Ce processus de lâcher-prise ne peut pas être une action venant de l'extérieur, car c'est un processus tout en entier et purement intérieur. C'est à nous de nous pré-disposé à lâcher-prise et cette prise de position n'est surtout pas d'ordre mental et encore moins le résultat d'un temps de réflexions.

Au fait, lâcher-prise représente un abandon non pas vers un événement, une circonstance ou une personne, car se serait à ce moment-là un processus extérieur. C'est par un abandon à une souffrance, une peur vivant en nous. Cette souffrance est un déclencheur d'un malaise intérieur suite à une perception d'une situation vécue, en cours où suite à un désalignement de soi. Vous pouvez avoir l'impression que ce sont les événements ou les personnes extérieures qui créent cette forme de souffrance intérieure, mais ce n'est pas le cas.

Il est trop facile de jouer la victime en rejetant la cause sur le monde extérieur. Cette réaction à l'apparition d'une souffrance intérieure ne fera qu'envenimer la situation dans un temps plus ou moins rapproché. La vie nous ramène toujours aux situations auxquelles nous n'avons rien réglées et ce, tant et aussi longtemps que nous n'avons pas fait l'exercice intérieur de lâcher-prise sur cette souffrance enfouie.

Il est facile de dire et de procéder mentalement à une forme de lâcher-prise en tentant d'oublier l'événement ou de minimiser les conséquences pas toujours extérieures à nous, mais bien à l'intérieur de soi. Le processus du lâcher-prise repose sur une démarche intérieure, donc sur nos sentis et ressentis. Ce processus n'est pas naturel, car nous avons été éduqués à des concepts du style à laisser le temps faire son oeuvre, à s'éloigner des gens indésirables sans jamais savoir ce qui est indésirable en nous.

Nous luttons donc plus en rapport avec nos résistances intérieures. Nos résistances à abandonner ce qui nous a été enseigné comme vrai, comme mode de pensées. Le lâcher-prise opère bien plus sur nos résistances à abandonner ce qui nous est connu que sur les événements et personnes extérieures à nous.

C'est tellement difficile d'opérer ce processus sur nos résistances que nous en souffrons intérieurement. Ces souffrances si grandes, parfois, créeront un impact sur notre corps ou notre santé mentale. Notre refus non pas de voir l'extérieur, mais bien plus de nous regarder, de nous tourner vers notre être entretiendra ce sentiment si désagréable, voire même insupportable.

C'est presque rendu au bout de nos ressources autant physiques que mentales que nous commencerons à regarder l'option intérieure. Nous pourrons y arriver seulement au moment où nous serons disposés à accepter cette souffrance comme étant la nôtre. C'est à cet instant que nous oserons regarder ce que cette souffrance veut nous révéler. Cette acceptation ne peut venir que de nous-mêmes et ce n'est qu'à ce moment-là que nous pouvons entreprendre le processus du lâcher-prise.

Le lâcher-prise c'est au juste et avant tout un processus commençant par l'acceptation d'une situation intérieure indésirable, inconfortable. De l'acceptation, il y aura par la suite une prise de conscience de nos résistances. Ce à quoi nous résistons tant et qui nous fait si mal.

C'est en s'ouvrant sur soi, en acceptant d'observer et de regarder ce à quoi nous résistons tant que nous pourrons agir sur ce mal et de le transformer en un bien-être. Ce mal, cette souffrance apparaît dans notre vie pour nous parler, pour reconnaître un désalignement de soi, donc tout découle de l'action de s'accorder un espace et un temps de regard et d'écoute de soi.

Nous ne pouvons vivre une pleine et véritable réalisation de soi sans passer par le processus du lâcher-prise sur de vieilles résistances conditionnées que nous n'avons jamais fait les nôtres.

Comment faites-vous pour lâcher-prise sur des situations qui enveniment votre vie ?

lundi 11 janvier 2010

Le sentiment d'urgence

Il y a des situations de la vie qui nécessitent des réactions rapides et des résultats concrets pour éviter de vivre des moments difficiles avec des conséquences négatives. Généralement, il n'est pas difficile d'avoir le sentiment d'urgence pour agir ou plutôt pour réagir et tenter d'éviter le pire. Malgré le fait que ces situations ne surviennent pas, du moins, ne devraient pas survenir trop souvent dans une vie, il faut quand même poser des gestes concrets et rapides pour régler ces situations qui pourrissent votre vie.

Qu'en ait-il le reste du temps de votre vie ? Est-ce que vous êtes de ceux qui avez l'habitude de remettre à plus tard ce que vous pourriez entreprendre tout de suite ? Si c'est le cas, vous êtes parmi la majorité des gens de cette planète.

Il faut bien comprendre que je vous parle essentiellement des projets de vie, de projets qui sont enfouis au plus profond de votre coeur. Je ne parle pas des tâches quotidiennes, encore la j'imagine que si vous faites de la procrastination dans vos activités de la vie de tous les jours, il n'est pas difficile de comprendre pourquoi vous faites la même chose avec des projets plus importants.

Loin de moi l'idée de critiquer qui que soit pour ce genre de comportement. Les raisons sont trop nombreuses pour expliquer rationnellement ce genre de comportement et dans bien des cas il y a de bonnes raisons d'agir de la sorte.

L'idée ici est de découvrir comment réussir à créer un sentiment d'urgence pour vous faire sortir de la torpeur, de la peur, de l'inertie qui bloque la réalisation de vos projets. Il n'y a pas de recette miracle, il n'y a que des sentiments déclencheurs, des émotions motivantes pour vous permettre d'oser si je puis l'exprimer ainsi.

Ce que je considère la chose la plus importante dans une telle démarche est d'accepter le fait que la réussite de vos projets sera le résultat de plusieurs facteurs et bon nombre de ces facteurs ne seront pas sous votre contrôle. Ce qui veut simplement dire que la chance fait définitivement partie de l'équation de la réussite, mais lorsqu'on se met en action et qu'on persévère, les probabilités d'être chanceux augmentent considérablement.

Pourquoi oser essayer si mes chances de réussite sont minimes ?
D'abord et avant tout parce que vous avez quand même une chance de réussir et ensuite parce que tout ce que vous découvrirez en cours de route sera d'une valeur inestimable pour la suite de votre vie. Si vous cherchez un peu dans vos souvenirs, vous découvrirez que la plupart des choses que vous avez apprises l'ont été lorsque vous faisiez des projets, des activités dans lesquelles vous deviez vous impliquer sérieusement.

Je suis persuadé que dans bien des cas, vous aviez toujours un sentiment d'urgence sous une forme où sur une autre et que même si vous n'avez pas atteint l'objectif désiré, vous avez accumulé des connaissances et un savoir faire qui ont été utiles et pratiques pour la suite de votre vie.

La principale raison pour laquelle vous devez oser, c'est que c'est en faisant des projets qu'on apprend, qu'on évolue et qu'on profite véritablement de la vie.

Créer un sentiment d'urgence est le moteur de l'action, si vous ne définissez pas d'objectif avec des dates, il y a peu de chance de créer ce sentiment d'urgence essentiel pour vous motiver à agir et à y mettre l'énergie nécessaire, ne serais-ce que pour au moins vous donner une chance de réussir une partie de votre projet.

Une fois que vous avez démarré le moteur par la création de votre sentiment d'urgence, il faut coller une émotion à votre projet pour que le moteur continu de fonctionner pour vous faire avancer et vous garder en vie, c'est-à-dire dans l'action.

Dites-moi comment vous réussissez à créer ce sentiment d'urgence pour réaliser vos projets? 

vendredi 8 janvier 2010

Permettez-vous de grandir

Lêtre humain n'est pas fait pour stagner, pour rester immobile ou pour se contenter de ce qu'il a. Vous avez un besoin intérieur de développement, de croissance, d'évolution et c'est en l'acceptant que vous cheminerez vers la réussite financière et le bien être intérieur.

Tout ce qui ne grandit pas fini par mourir
La stagnation, la routine ou la suffisance ne sont qu'une régression camouflée. Cet état de stagnation n'existe pas dans la nature, pas plus que chez l'être humain. Tout est en mouvement, tout ce qui existe croît ou décroît, il ne peut rester identique.

Bien souvent, les gens cherchent une vie routinière où toute difficulté serait absente et où ils seraient “tranquilles” jusqu'à la fin de leur vie, mais cet état n'existe pas. Lorsqu'une plante arrête de grandir, de pousser, elle commence à mourir tout doucement.

Lorsque vous arrêtez d'évoluer dans votre travail et vos affaires, les choses commencent à se dégrader. De manière quasi imperceptible au début, mais aussi sûrement que lorsque le corps humain a fini de grandir, il commence à vieillir.

Lorsque votre relation amoureuse ne grandit plus, lorsque chaque jour vous vous aimez autant, la routine est en train de s'installer, l'habitude se crée, la perte de désir ou de surprises s'amorce et la relation ne progresse plus.

Tout ce qui ne progresse plus recule. Il ne peut en être autrement, c'est une loi de la nature, une loi de la vie
Pour contrer cela, vous devez entretenir en vous ce désir de progresser, d'en vouloir toujours plus, d'être curieux de tout et de vous attendre au meilleur. Attendez-vous toujours au meilleur, ayez tous vos sens en éveil.

Soyez toujours prêt
Soyez toujours prêt à accueillir le changement, les nouvelles idées. Soyez toujours prêt à recevoir les cadeaux de la vie, soyez toujours prêt à accueillir les événements quels qu'ils soient et préparez-vous intérieurement en vous sentant intérieurement comme vous aimeriez vous sentir demain.

Le bonheur est dans le parcours
En vouloir toujours plus ne veut pas dire n'être satisfait de rien. Certaines personnes ont tendance à se dire qu'elles seront heureuses ou satisfaites lorsque tel ou tel événement ou résultat sera atteint et se conditionnent ainsi à être frustrées ou malheureuses en attendant.

Bien entendu, lorsque ce qu'elles attendaient arrive, elles s'empressent de redéfinir autre chose à atteindre pour plus tard, ce qui leur donne une occasion d'entretenir encore et encore ce mal être intérieur.

Vous pouvez en vouloir plus tout en étant heureux de ce que vous avez déjà réalisé. Il n'est pas nécessaire d'être insatisfait pour en vouloir plus, vous pouvez aussi vous réjouir de chaque instant que vous vivez en les vivant pleinement et en ayant le désir d'en vivre d'autres encore et encore.

Êtes-vous de ceux qui grandissez jour après jour ? Si oui, dites nous comment vous y parvenez.

jeudi 7 janvier 2010

Les bienfaits de l'attitude positive pour atteindre vos objectifs

Une simple observation révèle que ceux qui sont négatifs et dépressifs perdent beaucoup d'énergie, ils se trainent comme s'ils erraient dans le brouillard. En revanche les gens positifs semblent avoir une énergie inépuisables et déclenchent l'enthousiasme pour atteindre leurs objectifs.

En ayant une attitude positive, votre créativité augmentera rapidement. Les idées et les relations vous viendront comme par magie pour atteindre vos objectifs.

Une attitude positive permet à votre personnalité de mieux vous épanouir. Même en ayant les meilleurs diplômes et une très grande culture générale, si votre attitude est négative, vous perdrez tous vos atouts. Une attitude positive est l'élément le plus fort de votre personnalité pour atteindre vos objectifs.

Dans votre milieu professionnel, comme dans votre vie personnelle, une attitude positive fera la différence pour atteindre vos objectifs. En ayant une attitude positive, vous allez établir et entretenir des relations saines avec vos supérieurs et vos amis, c'est la clé pour atteindre vos objectifs.

Vous allez rapidement étendre votre réseau de relations. Quand vous êtes positif, vous envoyez des signaux amicaux. Si vous êtes joyeux et optimiste, votre attitude agit comme un aimant. Non seulement, vous attirerez les autres, mais ils seront plus amicaux avec vous, car ils sentent que vous les appréciez vraiment.

Autant que les compétences, la réussite de votre vie dépend de la qualité de vos relations professionnelles et personnelles pour atteindre vos objectifs. Une attitude positive procure un double avantage, elle vous aide à améliorer vos relations qui conduisent à vous faire de nouveaux amis.

Pour renforcer votre attitude positive, ayez le sens de l'humour. L'attitude positive et l'humour fonctionnent en symbiose. Plus vous apprendrez à développer votre sens de l'humour et plus vous deviendrez positif. Plus vous devenez positif, plus vous aurez des idées pour atteindre vos objectifs. L'humour sous toutes se formes aide à résister aux forces négatives. Vous pouvez améliorer votre sens de l'humour, apprenez et raconter des histoires drôles est un moyen fantastique pour chasser les idées négatives.

Le rire est une thérapie.Le rire détend les nerfs, améliore la digestion et facilite la circulation du sang. Le rire vous permettra de recharger vos batteries et d'avoir plus d'énergie pour atteindre vos objectifs.

Ecoutez votre musique préférée, faire une ballade en pleine nature, aller voir une pièce de théâtre vous aidera à vous détendre et à voir la vie du bon côté pour atteindre vos objectifs.

Pratiquez une activité physique est un excellent moyen pour évacuer le stress et retrouver une attitude positive pour atteindre vos objectifs.

Faites une lecture quotidienne sur le développememt personnel pour vous donner des idées et vous ressourcer positivement sur les situations qui vous inquiètes où qui vous stress.

Que faites-vous pour vous donner les moyens de conserver votre attitude positive en tout temps ?

mercredi 6 janvier 2010

Comment survient le bonheur ?

Mais comment atteindre un niveau élevé de satisfaction tout en ayant une vie frénétique et des activités de loisirs pré-emballés?

Il existe une corrélation extrêmement forte entre le bonheur qu'ont les gens au travail et à la maison. En d'autres termes, ceux qui éprouvent du bonheur et de la satisfaction au travail ont aussi tendance à vivre la même chose en dehors du travail. Ceux qui sont malheureux au travail sont souvent misérables à la maison.

Puisque le travail et la maison sont des environnements très différents, notre expérience du bonheur et du sens à la vie semble avoir plus à voir avec qui nous sommes que celui où nous sommes. Plutôt que de blâmer nos emplois, nos gestionnaires, nos clients, nos amis, les membres de la famille et la communauté de nos souffrances et de nos malheurs, nous pourrions être mieux servis en se regardant dans le miroir!

Une excuse courante pour ne pas réussir à vivre pleinement dans le bonheur et la satisfaction est : «Je travaille trop d'heures." Mais les recherches indiquent que le nombre d'heures travaillées n'avait pas de corrélation significative avec le bonheur et la satisfaction vécue au travail ou à domicile. Voilà pour cette excuse.

Les corrélations entre le bonheur et la satisfaction globale au travail et la maison sont très similaires. Ceux qui sont le plus satisfaits de leur vie en dehors du travail sont ceux qui passent plus de temps à faire des activités intéressantes et qui donnent un sens à leur vie, qui leurs apportent quelques choses de concret, tant physiquement que mentalement.

Ces liens entre le travail et la maison et la façon dont nous utilisons notre temps sont très révélateurs et révèlent un modèle de comportement qu'il faut faire peu importe ce que nous sommes en train d'accomplir. Voici quelques petits trucs qui pourraient vous aider à améliorer votre vie:

  • Réduire votre consommation de télévision et surtout éviter les émissions à caractère négatif, dégradant et arrogant.
  • Diminuez votre temps passé à surfer sur le Web pour des raisons non professionnelles. Il y a une corrélation négative de ce comportement et les effets sur votre bonheur et votre sentiment de satisfaction.
  • Accomplir des tâches de bureau à la maison le moins possible.
  • Passez du temps à faire de l'exercice et passer du temps avec les gens que vous aimez (les personnes faisant cela avait plus de satisfaction dans la vie au travail et à domicile).
  • Sentir qu'on a un challenge dans la vie à un lien direct avec le sentiment de satisfaction, osez vous lancer des défis.
Comment gérez-vous votre vie pour être satisfait et vivre le bonheur dans les deux domaines de votre vie?

mardi 5 janvier 2010

Comment utiliser la créativité pour vous défaire de votre conditionnement limitant

Prenez un instant pour considérer la créativité non pas comme un élément extérieur à vous-même, mais comme quelque chose que vous avez déjà en vous, depuis toujours.

Imaginez la créativité comme une énergie qui est prisonnière dans un recoin de votre esprit et imaginez qu'il vous faille ouvrir un certain nombre de portes pour atteindre cette énergie et la laisser s'exprimer librement dans votre vie.

Ouvrez les portes pour laisser sortir la créativité qui est en vous
Bien sûr, cela est une métaphore, mais le simple fait de pouvoir imaginer n'est-il pas le premier pas vers le développement de votre créativité ?

En prenant conscience de vos schémas limitants, vous leur faites perdre tout pouvoir sur vous.

Dépassez vos limites du possible
Les seules limites de votre capacité à inventer, de votre capacité à créer proviennent de ce que vous croyiez que vous êtes capable de faire.

Si une chose vous semble impossible aujourd'hui, vous ne pourrez pas l'atteindre à moins de changer votre état d'esprit.

Si vous pensez que vous ne pourrez trouver la solution à un problème, vous ne la trouverez pas.
Vous n'atteindrez que ce que vous croyez possible.

Pensez-vous que vous allez devenir capable d'avoir une idée qui vous permettra de faire fortune par exemple?
Si la réponse à cette question est négative, comment voulez-vous réussir ?

En fixant les limites à ce que vous croyez possible, vous fixez les limites à ce que vous vous autorisez à réussir.

Lorsque vous ne croyez pas en votre capacité de réussir une chose précise, vous vous conditionnez pour échouer, vous vous fixez des limites et vous n'essayez pas d'aller au-delà.

Dépassez les doutes
Les gens croient que c'est en obtenant de nouveaux résultats qu'ils pourront dépasser leurs doutes. Mais les choses ne se passent pas ainsi.

Si vous avez décidé de réussir, vous devez dépasser vos doutes, vous devez les oublier et faire comme si ce que vous voulez était possible.

Faites comme si c'était possible
Lorsque vous doutez, vous créez un blocage en vous, vous vous fermez à vos possibilités, vous envoyez des instructions à votre subconscient lui disant de vous empêcher de réussir à faire ceci ou cela.

Vous ne voyez que ce que vous croyez
Une des caractéristiques de votre cerveau est qu'il fait le tri dans vos différentes perceptions et ne vous permet de percevoir que ce qui va dans le sens de ce que vous croyez.

Si vous croyez que les gens sont égoïstes, vous ne verrez que les gens égoïstes ; si vous pensez qu'il est impossible de réussir dans la vie, vous ne verrez que des vérifications allant dans ce sens.

lundi 4 janvier 2010

La vie est précieuse

En cette nouvelle année qui commence, il est bon de faire une petite pause et de réfléchir à ce qui est vraiment important pour vous dans la vie. Cette vie, si courte est si précieuse, qu'il faut apprendre à utiliser chacun de ces moments qu'elle nous offre et tenter d'en profiter dans le plaisir et la satisfaction de soi-même.

Pas facile d'appliquer une philosophie de vie aussi "zen" dans un environnement social aussi exigeant qu'est le nôtre. Peu importe le pays dans lequel vous êtes, la vie est exigeante et il faut apprendre à assumer ses responsabilités quoiqu'il arrive.

C'est pourquoi nous devons apprendre à véritablement penser de manière constructive, il faut apprendre à orienter nos sentiments positivement pour que nos comportements soient orientés instinctivement vers des objectifs qui apportent des solutions et des actions concrètes.

Les précieux instants que nous offrent la vie ne doivent pas être utilisés à dénigrer les autres et à casser du sucre sur le dos des autres sans jamais participer à la résolution du problème. Les interventions concrètes que nous faisons tout au cours de notre vie, ont un impact direct sur votre sentiment du devoir accompli et de la satisfaction que nous avons de nous-même.

Il faut choisir ce que vous voulez faire de votre temps, il faut prendre le temps de bien vivre sa vie pour apprécier à quel point notre courte vie est si précieuse et si particulière.¨Parfois les choix sont difficiles, voire même limités, mais dans la plupart des cas nous avons toujours des choix qui peuvent nous apporter beaucoup de joies et de satisfactions. Il suffit de prendre le temps de bien faire les choses et pour les bonnes raisons.

L'année à venir sera sans doute haute en changement et en surprise dans tous les domaines de vie de notre société. D'innombrables événements surgiront au cours de l'année et certains de ces événements auront un impact direct sur notre vie. Le monde d'aujourd'hui est très inter-relié d'un bout à l'autre de la planète. Nous ne pouvons plus demeurer insensible aux autres nations. C'est pourquoi la vie d'aujourd'hui nécessite un comportement calme, réfléchi et positif afin de prendre des décisions plus éclairées, qui nous permettront de mieux profiter de la vie tout en agissant en accord avec le respect des autres et de notre planète.

Quelle sera votre approche pour profiter du mieux possible de cette belle vie?