Suis ton coeur, pour que ton visage brille durant le temps de ta vie Plathotep

vendredi 29 janvier 2010

Pourquoi devrait-on s'intéresser à la politique?

Avant de commencer, un peu d’étymologie afin que chacun sache d’où vient le sens du mot « politique ». En fait, « politique » se construit à partir d’une racine grecque « polis » qui signifie « cité »,, « ville ». La politique, à l’origine, consiste en ce qui est du traitement des affaires de la cité.

Aujourd’hui cette définition, bien qu’elle soit élargie à la notion de peuple et d’état, n’en demeure pas moins actuelle. Aussi, bien qu’un certain nombre de professionnels de la politique aient tendance à salir ce terme, la définition de la politique n’en demeure pas moins claire : « c’est l’ensemble des dispositions publiques qui doivent régler la vie du peuple citoyen ».

Ainsi, que nous le voulions ou non, nous sommes tous impliqués dans la chose politique, ne serait-ce parce que c’est au niveau politique que se prennent les grandes directions sociales et économiques qui vont nous permettre, nous citoyens, de mieux vivre.

S’intéresser à la politique ça veut dire « jeter un œil » sur ce que décident nos représentants, nos élus et tenter de comprendre ce qu’ils font. Il est fondamental de pouvoir analyser les décisions qui sont prises puisque ces décisions nous concernent.

Mais s’intéresser à la politique n’est pas seulement un simple jeu d’intellectuels, c’est également un devoir, un devoir citoyen. Nous ne pouvons nous en délester sans avoir à en payer le prix. Car en effet, dès que le pouvoir politique, sent la pression populaire diminuer, il s’empresse de faire passer des lois qui lui permettront de se maintenir en place, d’augmenter ses privilèges et de s’enrichir plus encore et cela de façon tout à fait légale.

Quelque soit le parti au pouvoir ou la personne représentant ce pouvoir, il nous faut demeurer vigilants : n’oublions pas que c’est avec l’argent citoyen que les politiciens sont payés. Faire de la politique ce n’est donc pas entrer dans une logique partisane et chercher alliance et électorat quitte à jouer de compromission et de mensonge (promesses électorales).

Faire de la politique, du point de vu du citoyen, c’est veiller à ce que nos élus demeurent à la seule place qu’est la leur, c’est-à-dire à la place de serviteur. Le citoyen ne doit pas oublier que son élu est son serviteur. Le citoyen c’est le peuple et l’élu est au service du peuple. C’est là un principe démocratique trop souvent oublié.

Mais attention, cette citoyenneté doit être éclairée. Nul ne peut prétendre à revendiquer sa citoyenneté s’il n’est pas capable d’avoir au moins un peu d’analyse politique. C’est pour cela qu’il lui faut aller dénicher l’information concernant tel programme ou telle action gouvernementale. Il faut garder l’esprit critique et demeurer dans cette vigilance civique sans quoi, sous couvert de démocratie, le pouvoir politique tombe aux mains des moins honnêtes d’entre nous et des plus arrivistes.

Pour maintenir leur pouvoir ces politiciens se font trop souvent les partenaires complaisants de professionnels de la communication. Ces professionnelles de la manipulation informationnelle leur assurent une médiatisation propre à transformer la démocratie en démagogie.

Pour récapituler, je dirais que la chose politique est l’un des domaines de compétence du citoyen, à condition que ce citoyen fasse un minimum d'effort pour comprendre les actions des politiciens, sans quoi il sera incapable d’être réactif sur les questions qui se posent à la société et auxquelles nos chers politiciens donnent des réponses.

Parce que certains d’entre nous ont fermé trop longtemps les yeux, par fainéantise, ou par médiocrité intellectuelle, sur les affaires politiques, nous héritons d’une société que nous n’avons peut-être pas désirée, mais que nous méritons. Ne pas s’intéresser à la politique revient à laisser les coudées franches aux plus véreux, aux plus vénaux, aux plus hypocrites des politiciens et finalement à se trouver, un jour ou l’autre, dans la une situation intolérable.

Le bien-être de la vie en société commence par une gestion décente et convenable de cette société qui est la nôtre, ensuite, il est beaucoup plus facile de nous épanouir comme individu.
 
Que faites-vous pour vous tenir informé et comment faites-vous savoir votre désaccord lorsque vous pensez qu'il faut changer les choses ?

jeudi 28 janvier 2010

Se sentir rejeté - Comment s'en sortir

Trop souvent, lorsque nous pensons avoir été rejetés ou que nous sommes désappointés, nous nous décourageons et nous nous disons : « Ce n’était pas pour moi. Je pense bien que je ne suis pas assez bon pour ce poste ». Lorsque ces désappointements nous frappent, c’est normal d’être un peu ébranlé. Nous voulons alors nous relever le plus vite possible. Nous ne voulons pas laisser nos rêves mourir ou s’éteindre.

Nous voulons comprendre que dans chaque évènement qui ne tourne pas comme nous voulons, il y a toujours une nouvelle opportunité ou une nouvelle porte qui s’ouvre. Notre travail et notre mission c’est
de découvrir cette nouvelle porte.

Souvent, nos plus grandes opportunités émergent de nos plus grandes déceptions. C’est parfois confortable. Souvent, nous n’aimons pas la sensation, cependant, nous ne pouvons pas faire l’erreur de nous asseoir et de rester où nous sommes.

De nos plus grandes déceptions émergent nos plus grandes possibilités. Prenons par exemple un érable. Si nous le plantons dans un pot, sa croissance sera bientôt très limitée. Une fois que les racines ont rempli le pot, l’érable ne pourra plus croître. Le problème n’est pas l’érable, mais bien son environnement.

L’environnement limite la croissance de l’arbre. Peut-être avons-nous dans notre coeur de plus grandes choses à accomplir que notre environnement peut supporter. Lorsque nous passons au travers de moments difficiles, ce n’est pas nécessairement parce que nous sommes dans l’erreur. Parfois, c’est de cette façon qu’on se fait indiquer ou montrer la prochaine étape. C’est parfois la petite poussée dont nous avons besoin.

Profitons de cet exemple pour appliquer et comprendre les étapes de la guérison. La partie de rejet ou désappointement est la première étape. C’est à ce moment que nous réalisons la souffrance ou la déconnexion associée au désappointement. Si nous n’acceptons pas cette réalité, si nous l’évitons, si nous blâmons les autres, nous-mêmes et les circonstances, nous aurons de la difficulté à nous relever.

Lorsque nous commençons à souffrir, immédiatement nous nous relevons et nous commençons à chercher des gens ou des événements qui pourraient nous aider. Nous sommes à la deuxième étape. Nous tentons d'identifier rapidement : « Quelle est cette personne qui peut m’aider ». L’aide provient toujours de l'extérieur et d'un nouvel apprentissage. Parallèlement, nous rejetons le blâme sur des événements extérieurs ou les autres.

Puis vient la réalisation que ce ne sont pas les autres ou les circonstances qui ont créé le problème. Tout devient clair. Nous qui sommes responsables de ce qui nous arrive. Comment se fait-il que je me retrouve toujours dans des circonstances ou avec des personnes similaires ? C’est la frustration et la sensation d’être pris et de tourner en rond. C’est comme être pris dans la neige. Les roues tournent, mais l’auto n’avance pas.

C'est à cette étape, lorsque nous reconnaissons que nous sommes pris, que nous nous sommes mis dans ces situations, que nous pouvons reprendre notre pouvoir, prendre action et changer les choses de l’intérieur.

Finalement, la dernière étape consiste à agir concrètement. Cette dernière étape est sans aucun doute la plus difficile et celle qui prendra le plus de temps à se réaliser. Pour ne rien vous cacher, ce sera aussi l'étape la plus difficile à réaliser, mais les effets positifs sur votre vie seront sans précédent.

Si vous vivez une situation dans laquelle vous vous sentez constamment rejeté, oser sortir de cet environnement  qui ne correspond pas à vos rêves et à vos aspirations.

mercredi 27 janvier 2010

Savoir écouter

Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me donner des conseils, tu n'as pas fait ce que je te demandais.

Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me dire pourquoi je ne devrais pas ressentir cela, tu bafoues mes sentiments.

Quand je te demande de m'écouter et que tu sens que tu dois faire quelque chose pour résoudre mon problème, tu ne m'aide pas, aussi étrange que cela puisse paraître.

Ecoute, tout ce que je te demande, c'est que tu m'écoutes.

Non que tu parles ou que tu fasses quelque chose : je te demande uniquement de m'écouter.

Les conseils sont bon marché, j'aurai dans le même journal le courrier du coeur et mon horoscope.

Je veux agir par moi-même, je ne suis pas impuissant, peut-être un peu découragé ou hésitant, mais non impotent.

Quand tu fais quelque chose pour moi, que je peux et ai besoin de faire moi-même, tu contribues à ma peur, tu accentues mon incapacité.

Mais quand tu acceptes comme un simple fait que je ressens ce que je ressens (peu importe la rationalité) je peux arrêter de te convaincre et je peux essayer de commencer à comprendre ce qu'il y a derrière ces sentiments irrationnels.

Lorsque c'est clair, les réponses deviennent évidentes et je n'ai pas besoin de conseils.

Les sentiments irrationnels deviennent intelligibles quand nous comprenons ce qu'il y a derrière.

Peut-être est-ce pour cela que la prière marche, parfois, pour quelques personnes, car la divinité est muettte.
  • Il ou elle ne donne pas de conseils
  • Il ou elle n'essaye pas d'arranger les choses
  • Ils écoutent simplement et te laissent résoudre le problème toi-même.
Alors, s'il te plaît, écoute et entends-moi.

Et si tu veux parler, attends juste un instant et je t'écouterai.

mardi 26 janvier 2010

Comment accompagner les adolescents dans leurs développements de vie sans les envahir

Malgré leurs comportements d’assurance qui sont les leurs, les adolescents sont souvent rongés d’angoisse et de doute. Ils ont donc terriblement besoin que les adultes et singulièrement leurs parents, leur manifestent de réguliers témoignages de leur confiance.

Un coup d'oeil au comportement des parents dans la communication avec un adolescent

La confiance en soi est à la base de toute possibilité de réussite. Plus nous sommes persuadés que notre enfant peut réussir, plus il croira en lui et plus ses chances de réussite dans ses projets seront grandes.

Porter un jugement négatif sur l’adolescent en tant que personne, même pour rire ou sous forme de taquinerie, c’est risquer de le marquer profondément et de l’ancrer négativement dans des images de perdant qui auront des impacts négatifs sur son estime de soi. En agissant de la sorte, on colle sur l’adolescent une étiquette qui risque de l’accompagner tout au long de sa vie. Même une fois devenu adulte, il continuera à s’enfermer dans les croyances limitantes que vous lui avez ainsi collé à la peau.

Veillez aussi tout particulièrement à bien gérer votre communication non-verbale. Rien ne sert en effet de réciter un discours positif, si tout dans votre attitude dénote le contraire. Ainsi, il est des regards ou de simples mouvements de tête qui en disent bien plus long que de trop longs discours.

Votre adolescent n’est ni bon ni mauvais. Seuls ses résultats sont éventuellement quantifiables de la sorte et encore, qui sommes-nous pour critiquer un résultat!  On veillera ainsi à systématiquement mettre en évidence les évolutions de résultats plutôt que se centrer sur l’un d’entre eux en particulier. Les évolutions, moins brusques, permettent de mieux anticiper les dérapages et de prendre du recul sur les raisons des résultats, disons moins acceptables.

Il est impératif de refuser systématiquement de culpabiliser l’erreur chez l’adolescent. Il s’agit au contraire de la dédramatiser et de lui rendre un statut d’indice d’un cheminement d’apprentissage. C’est dans la mesure où il se montrera capable d’identifier ses erreurs, d’oser les montrer et en parler, de se pencher dessus avec sérénité pour tenter de les comprendre, que l’adolescent sera capable de les utiliser, c’est-à-dire d’en apprendre quelque chose. Or, l’erreur, chacun le sait désormais en pédagogie est source d’apprentissage. Souvenez-vous que pour apprendre il faut l’oser.

Comment réussissez-vous à guider vos adolescents sans imposer vos façons de faire ?

Et vous chers adolescents (jeunes adultes), comment réussissez-vous à guider vos parents pour qu'ils vous laissent faire vos apprentissages sans toujours intervenir ?

lundi 25 janvier 2010

Finances personnelles : 6 erreurs classiques

Source: http://www.cafedelabourse.com/

Nos sociétés contemporaines sont fondées sur la consommation et les biens matériels. Tout y est fait pour faciliter les achats. Le résultat de cette mentalité est l’endettement des ménages et un taux d’épargne très faible dans certains pays.

Il est clair que les premiers consommateurs à crédit sont les Américains. Le taux d’endettement des ménages y connaît une hausse ininterrompue depuis 1952 et seulement amorcé un déclin fin 2008.

Ainsi, pour beaucoup de personnes, vivre au-dessus de ses moyens est une chose normale. Mais le retour à la réalité peut être violent et il peut être très dur, voire impossible redevenir à la solvabilité.

Ici, nous exposerons six des erreurs les plus courantes en matière de gestion de ses finances personnelles.

1. Attention aux dépenses superflues
D’une manière générale, les dépenses de tous les jours en café, cigarettes, restaurants ou encore location de films ne paraissent pas énormes et sont supportables pour une personne ou un ménage. Ces extras font plaisir, mais mises bout à bout, elles représentent des sommes importantes en fin d’année ou même en fin de mois.

Par exemple, une personne qui fume et achète quatre paquets de cigarettes à 5 euro par semaine dépensera en tout 1 040 euro dans l’année. Cette somme pourrait servir au remboursement d’un appartement ou d’une voiture.

Si on ajoute aux dépenses de cigarettes 2 euro par jours pour des café et 100 euro de restaurant par mois, c’est alors 1930 euro supplémentaires qui sont dépensés dans l’année. En ajoutant les 1 040 euro de cigarettes, c’est près de 3000 euro annuels qui partent ainsi dans les “loisirs”.

Pour une personne ou un foyer qui serait déjà en situation délicate ou limitée au niveau financière, l’importance de ces dépenses méritent que l’on s’y attarde.

2. L’accumulation d’échéances sans-fin
Quand les problèmes d’argent font surface ou lorsque l’on souhaite économiser, il faut se demander s’il ne serait pas judicieux de réduire son train de vie en (re)définissant ce dont on a réellement besoin.

En effet, est-ce qu’un abonnement au câble, à des jeux vidéo ou un forfait de téléphone surdimensionné sont des dépenses prioritaires ? Surtout que la plupart de ces paiements ne permettent pas d’acquérir un bien physique à l’échéance.

3. Vivre à crédit
Il faut faire attention à ne pas dépenser plus que ce que l’on gagne. Cela peut sembler évident, mais ce n’est pas toujours facile.

Aujourd’hui, les facilités de paiement et les incitations à l’achat poussent les gens à la dépense impulsive. Et ce, souvent avec de l’argent qu’ils ne possèdent pas. Ces dépenses à crédit rendent les achats extrêmement chers du fait des taux d’intérêt élevés qui sont pratiqués.

On peut citer en exemple les crédits à la consommation assortis de taux exorbitant ou les cartes de crédit.

4. Acheter une nouvelle voiture
La plupart des personnes qui achètent une voiture le font par un emprunt. En effet, peut de clients peuvent se permettre de payer une voiture comptant. Ce qu’il faut garder à l’esprit, c’est qu’une voiture est un bien qui se déprécie très vite et coûte de l’argent tout au long de sa vie.

Ainsi, une personne qui s’endette pour acheter une voiture achète un bien qui va perdre de sa valeur et qui va lui coûter de l’argent. Cette situation creuse l’écart entre le prix réel de la voiture et le prix qu’on la paye.

Le plus souvent, quelqu’un qui achète une voiture le fait pour répondre à un besoin. Il n’a pas le choix de le faire par l’emprunt. Il faut alors bien définir ses besoins et réfléchir à ce que cela coûtera (à l’achat et durant la vie de la voiture).

Par exemple, la plupart des personnes qui possèdent un 4×4 n’en ont pas une utilité réelle. Or, ces véhicule possèdent plus de chevaux fiscaux que les autres, consomment plus, et sont plus chers à assurer.

5. Acheter une trop grosse maison
Dans la même logique que pour les voitures, l’achat d’une maison nécessite d’établir ses besoins. En effet, une grosse maison coute chère en taxes foncières, en entretien ou encore en chauffage.

6. Votre maison est votre patrimoine
La maison est un patrimoine physique, quelque chose que l’on met du temps à payer mais dont on est propriétaire à la fin.

Ainsi, souscrire une hypothèque dans le but de refinancer ou de dégager des liquidités expose son propriétaire à en perdre la propriété et en plus, à payer des milliers d’euro d’intérêts et d’honoraires.

En conclusion, on trouve différentes mentalités au sujet de l’épargne et de la consommation en fonction des pays.

Par exemple, les Américains vivent à crédit et n’épargne que 1% de leur revenus. Cette situation a, en partie, aggravé la crise que l’on a connue en 2008.

En Europe (France, Pays-Bas, Italie, Norvège), le taux d’épargne moyen est dix fois supérieur à celui des Américains (10%) et pourtant le niveau de vie est sensiblement le même. La preuve que l’on peut bien vivre en gérant bien son argent, sans s’endetter plus que de raison.

Une chose importante à retenir : être capable de régler les mensualités liées à l’achat d’un bien ne signifie pas nécessairement que l’on a les moyens de se l’offrir.

vendredi 22 janvier 2010

L'importance et l'urgence de rire

A n’en plus douter les vertus du rire sont bien réelles ! La liste des bienfaits est longue : calmer le stress, faciliter la digestion le sommeil ou les relations avec autrui, réduire les sensations de douleur, stimuler le système immunitaire, prévenir les maladies cardio-vasculaires.

On sait que pour bien fonctionner notre corps a besoin d'un certain nombre de calories. Il en va de même dans les relations humaines nous avons besoin de nos calories relationnelles et le rire est un l'aliment par excellence pour le fournir.

Avez vous déjà remarqué comme on se sent bien après un bon fou rire, une bonne crise de rire seul, à 2 ou en groupe ! Nous en avons besoin. Rire c’est d’abord du plaisir, l’expression de la joie, de la sécurité. C’est aussi la façon qu’avaient nos ancêtres préhistoriques de signaler la fin du danger auprès de la tribu.

Le rire c’est quelque chose de très relaxant. Si on passe une journée entière sans rire, on risque d’être stressé inutilement et cela pourrait vous attirer des maux de tête et toutes sortes d’ennuis parce qu’on n’est pas relaxe, on est trop concentré, voire préoccupé.

Lorsqu'on dit qu’il faut rire, ce n’est pas de rire sans cesse, mais de se sentir joyeux pendant un moment de la journée et de se laisser envahir par cette joie. Une personne qui est toujours fâchée, boudeuse où en colère et qui ne rit jamais, vieillira tôt, parce que les muscles faciaux deviendront durs et seul le rire peut les relâcher.

De plus, il y a certains métiers que l’on exerce qui requiert de la bonne humeur. Prenons une personne qui travaille avec des enfants dans une école maternelle, elle ne peut en aucun cas passer une journée sans rire même si elle s’est réveillée avec une mauvaise humeur. Car ce métier est fortement porté sur des activités ludiques nécessitant le rire.

Tout ceci pour vous expliquer combien il est important de vous divertir, de rire et de trouver la joie de vivre. C’est sûr que chaque chose à son temps, mais si c’est le temps de rire, faites-le. Parfois vous aimerez bien rire, mais vous êtes bien trop préoccupé par un problème quelconque, sortez un peu, allez au cinéma, au théâtre ou rendez visite à un ami qui pourrait vous aide à vous divertir. C’est sûr que vous vous sentirez mieux. Je vous conseille de ne plus passer une journée sans rire car l’autre a dit : “la plus perdue des journées est celle ou l’on n’a pas ri”.

Le rire est un lubrifiant social, son pouvoir est énorme : il désarme l’agressivité, fait tomber les barrières, assure la cohésion d’un groupe et crée la connivence.

Le rire devrait être remboursé par la sécurité sociale : il dégage les bronches, nettoie les artères, élimine les toxines.

Où sont passés les formidables éclats de rire de notre enfance ?

Alors souriez !!

jeudi 21 janvier 2010

Comment créer des opportunités dans la vie ?

Il est bien connu qu'il faut être ouvert et chercher les différentes opportunités qui peuvent venir à nous. Mais l'accent est rarement mis sur le fait que nous pouvons aussi créer nos propres opportunités. Voici donc quelques conseils utiles.

Afin de comprendre comment les opportunités fonctionnent, il est avant tout nécessaire de savoir que la vie est une question de choix : la vie que vous aurez sera toujours la somme des choix que vous aurez faits jusqu'à votre mort.

Ces choix peuvent donc être considérés comme des opportunités. Chaque jour, vous avez l'opportunité d'améliorer votre vie ou de la rendre encore plus mauvaise. Une des choses les plus importantes en ce qui concerne une opportunité est qu'elle arrive souvent déguisée en mauvais événement.

Par exemple, vous n'êtes pas engagé par l'entreprise que vous souhaitiez intégrer à cause du manque d'expérience dans le domaine. Considérez cela comme une opportunité, comme un travail temporaire dans le domaine en question et vous vous ferez des contacts et gagnerez de l'expérience.

Si vous souhaitez créer des opportunités dans votre vie personnelle, vous devez ouvrir votre cercle social. Trouvez une activité que vous aimez, il y a beaucoup de chances qu'un groupe de personnes partage le même intérêt. Si vous n'avez pas d'intérêt particulier pour un sujet, essayez donc quelque chose de nouveau et ne vous souciez pas des détails : il y a de fortes chances que votre cercle social s'agrandisse ainsi.

Ayez toujours une approche ouverte des choses : si vous vous trouvez dans plusieurs situations que vous considérez comme étant malchanceuses, éliminez les mauvais côtés des événements et voyez ce que vous pouvez en tirer de bon pour l'avenir.

Savoir saisir l’opportunité est un art qui se développe. Les bonnes opportunités, cela se provoque, par des actions concrètes et ciblées. Il ne faut pas attendre que l’opportunité se présente à nous, mais il faut se présenter à l’opportunité. Bien sûr, cela ne marche pas à tout coup, mais le pourcentage de réussite sera bien supérieur !

Comment faites-vous pour créer des opportunités dans votre vie?