Suis ton coeur, pour que ton visage brille durant le temps de ta vie Plathotep

vendredi 30 octobre 2009

Bien alimenter son cerveau avec les bonnes informations

Tout ce qui entre dans notre esprit agit de manière plus ou moins forte dans notre esprit d’une façon ou d’une autre. Il ne faut pas être naïf et croire qu’on soit en mesure de bien gérer le lot d’informations qui nous envahit. Nous devons à tout prix choisir ce qui entre dans notre esprit, nous devons éviter au maximum de s’exposer aux sources d’informations qui sont négatives et qui ne nous permettent pas de se divertir ou de grandir.

La vie doit être vécue en ayant le sens du plaisir et de l’évolution de la race humaine. Tout autre objectif dans la vie se doit d’être en accord avec ces deux principes fort simple mais combien difficile à respecter lorsqu’on laisse entrer n’importe quelle information dans notre esprit. Volontairement je soustrais toute allusion à quelque notion de foi ou de religion dans cette énoncée, s’il vous plaît de l’inclure bien à vous, elle se confond très bien dans l’évolution de la race humaine, à moins bien sûr d’avoir la foi ou une religion régressive ou fermée.

Nourrir son esprit n’est pas une simple tâche, il n’est pas facile de choisir l’information que nous acceptons de recevoir, la plupart du temps nous recevons ces informations bien involontairement et sans avoir le contrôle ou même le choix. Par contre, une grande quantité d’informations que nous recevons est entièrement sous notre contrôle, il n’y a qu’à penser aux choses les plus simples tel que les nouvelles télévisées, les journaux et même un jusqu’à un certain point ce qui provient de l’Internet.

Bon nombre de personnes attribuent leurs sentiments dépressifs, négatifs, colériques à leurs enfances, leurs situations financières, leurs contextes social désavantageux et même à leur conjoint. En réalité il y a certainement un peu de tout cela, mais pour la plupart d’entre nous il y a surtout le fait que les informations que l’on reçoit au quotidien entretiennent les causes contextuelles et en développe de nouvelles qui ne font même pas partie de nos vies.

Par exemple, il est difficile de regarder des enfants qui ne mangent pas à leurs faims, qui n’ont aucune opportunité de s’instruire pour possiblement améliorer leur sort plus tard, qui sont obligés de travailler dès leur jeune âge. Ces images et ces histoires nous affectent et très souvent on se sent impuissants, désabusés de la société et voir même coupable de ne pas en faire plus pour ces enfants autrement que de donner de l’argent à œuvre qui tentent désespérément de les aider. Ces situations sont généralement présentées dans un contexte parfois douteux.

Du même souffle on s’impatiente avec nos propres enfants parce qu’ils ne savent pas apprécier la chance extraordinaire qu’ils ont de vivre sous des cieux de paix et d’opportunité accessible à une minorité d’habitant sur cette terre. On demande à nos enfants d’avoir la maturité de l’adulte face à ces situations et par le fait même nous amorçons des situations de conflit familial dû aux informations présentés hors contexte et surtout qui ne sont pas adaptées en fonction du niveau d’évolution et de conscience que peuvent avoir les enfants, les adolescents et même les jeunes adultes de moins de 30 ans.

Cet exemple est peut-être complexe voir trop élaboré pour certaine personne, mais elle touche un grand nombre de personnes qui utilisent ce genre d’information pour faire comprendre à leurs enfants des choses qui sont tout à fait hors de leur portée. En tant qu’être humain on peut changer le monde en se changeant soi-même, mais surtout pas en essayant de changer les autres et encore moins avec des exemples venant d’un contexte tout à fait inapproprié comme l’exemple décrite précédemment.

Bien sûr tout ceci donne comme résultat final une ambiance morose, négative, non constructive voir même démoralisante, tant pour les adultes que pour les enfants. Ce genre d’information ne doit pas être reçu de manière sensationnalisme comme le font la plupart des médias présentement. Ces informations doivent être récoltées de manière objective et surtout avec une vue d’ensemble de la situation, pas seulement les conséquences qui sont parfois moins dramatiques que ce qu’on nous présente. D’où l’importance de gérer ce qui entre, il ne faut pas laisser les médias de masse nous envahir l’esprit, il faut l’éviter, le condamner, l’ignorer et surtout ne pas s’exposer à ces sources d’informations malsaines et dévastatrices.

Dites-moi comment vous gérez ce qui alimente votre cerveau.

4 commentaires:

  1. Bien d'accord avec ton sujet. C'est important de créer un filtre efficace de tout ce qu'on lit ou entends comme information.
    Personnellement, je suis assez critique avec ce que j'entends bien que je ne l'exprime pas. Je prends tout de même de temps de lire/entendre ce que mon prochain à a me dire et ensuite de décider ce qui peut être enmagasiné ou non. je gère surtout ce qui alimente mon cerveau selon le besoin que j'ai et si cela peut m'être utile...

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  2. Micheline Potvin3 novembre 2009 à 18:51

    Bonsoir Yves,
    Pour ma part je ne suis pas très interressé par les bulletins de nouvelles a la télévision il n'y a pas souvent de positif. De toute façon il y a toujours quelqu'un pour te dire ce qui se passe. Je suis une personne très positive. Je le suis devenue il y plusieurs années grâce a toi et une certaine Cie. Mais je suis aussi réaliste je vis aussi beaucoup au moment présent. La vie est un cadeau et aujourd'hui j'ai réalisé que si je ne change pas ma façon de penser au travail c'est le travail qui va m'avoir alors je me suis choisie. C'est a mon tour maintenant de changer les choses et prendre ma destiné en main. Je choisi ce que je veux lire et enregistrer pour alimenter mon cerveau. J'écoute mon corps lui me rappelle a l'ordre et me sonne l'alarme. Il faut prendre soin de notre cadeau la vie. Micheline

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  3. Le flot d'informations que nous recevons chaque jour, souvent bien malgré nous, est particulièrement négatif, surtout à la télévision ou sur les grandes radios nationales.
    Je souffre au plus profond de mon être du malheur du monde et cela m'affecte beaucoup trop mais je ne sais pas comment maîtriser cette souffrance.
    J'ai toujours eu beaucoup de mal à supporter l'injustice, la cruauté de notre monde.
    Je trouve souvent que la terre, c'est l'enfer...
    A côté de cela, je m'émerveille devant la beauté, la gentillesse et la capacité humaine par exemple pour créer, trouver des solutions etc.
    En résumé, je suis certainement trop sensible et heureusement d'un tempérament très positif, ce qui me permet de surmonter cette sensibilité excessive.
    Je crois que notre vision mondiale est en contradiction avec notre vie courante qui se déroule sur un champ bien plus restreint.
    Cela crée une dichotomie.
    C'est bien de savoir ce qui se passe ailleurs mais l'information que nous recevons n'est à mon avis pas satisfaisante car trop rapide et trop loin de notre perception. Comment comprendre la vie de populations si différentes dans leur mode de vie que nous. Par ailleurs, les catastrophes et les tueries régulières sont vraiment déprimantes.
    Donc, pour répondre à ta question, Yves, je gère plutôt mal ce qui alimente mon cerveau car je suis abreuvé et je ne peux pas supporter tout le malheur du monde et si je l'écarte, je me sens égoïste, donc ne n'est pas mieux.
    Il ne me reste plus qu'à essayer de faire plaisir autour de moi, de me faire plaisir aussi, agir avec mes faibles mais réelles possibilités pour essayer de trouver l'équilibre. Mais c'est la corde raide....

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  4. bonjour, je suis d acord avec tout ce que je lis ..... grace au info j ai me suis cree des phobies qui essaye de me detruire .....j ai commensee une diet de tout ca.....car dure dure pour moi .....

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